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10/10 Ce n’est pas une nouvelle adaptation d’un de Louis Ferdinand Céline. Le plus grand écrivain pour certains, antisémite jusqu’à l’os - premières allusions dans « L’Eglise », une pièce de théâtre. Mais lui-même, le paria, aussi décrié qu’admiré, bouffi de contradictions, dans le crépuscule de sa vie.
Meudon, année 1960, l’écrivain achève « Rigodon ». Les souvenirs, la guerre et les femmes.
Les dessins noir et blanc de Jacques Terpant sont magnifiques. Le scénario solide et convainquant
Un roman graphique de grande réussite.
Je lirai peut-être un de ses romans.21/07/2024 à 10:21 Max (764 votes, 8.1/10 de moyenne) 1