D'abord, il y a le cadavre d'une prostituée repêché dans le canal. Avec un tatouage au sein en forme de fer à cheval.
Ensuite, il y a la photo. Celle que Gabriel Lecouvreur trouve par hasard dans un sex-shop. Une de ses anciennes amies, nue et offerte, exposée aux regards. Avec au sein le même stigmate. Alors forcément, ça intrigue. Et le Poulpe a raison.
Dans ce foutu pays, on ne doit pas prendre les putes pour des canassons.
livre de la série Le Poulpe
On en parle sur le forum : Les enquêtes du Poulpe
Soumis le 26/06/2009 par El Marco