Auguste Budenaarde se fait tuer dans un cimetière. Le fossoyeur, qui officiait à Jeumont, n’avait pourtant pas d’ennemi, et cet assassinat ne présente aucun mobile apparent. Gabriel Lecouvreur décide de se rendre sur place pour tirer ça au clair, au risque de se frotter à des individus persuadés que Satan est leur sauveur.
Il s’agit de la soixante-treizième enquête du Poulpe, ici signée par Gérard Lecas. Gabriel Lecouvreur, également connu sous le sobriquet du « Poulpe », est plein de verve et s’engage à nouveau sur une investigation a priori anodine, mais qui dissimule encore une fois un sombre complot. Énergique, érudit, aussi curieux que zélé dans son combat contre les injustices, ses fans seront particulièrement heureux de le retrouver sous cette plume. Le récit est très bien écrit, jouissif au possible, avec d’agréables doses d’humour et une réelle tension qui ne s’achève qu’à la toute fin du livre, quand l’identité du criminel ainsi que la raison des effusions de sang révélées. Le lecteur a également l’occasion de croiser des personnages croustillants, particulièrement dans le bar où le céphalopode libertaire va écluser ses bières salvatrices, et lentement remonter la piste d’un assassin retors.
Répondant parfaitement au cahier des charges et doté d’une réelle personnalité, ce Poulpe constitue une très bonne cuvée. Acide autant qu’original, nerveux et agréable à lire, voilà un opus signé Gérard Lecas on ne peut plus réussi.
Auguste Budenaarde se fait tuer dans un cimetière. Le fossoyeur, qui officiait à Jeumont, n’avait pourtant pas d’ennemi, et cet assassinat ne présente aucun mobile apparent. Gabriel Lecouvreur décide de se rendre sur place pour tirer ça au clair, au risque de se frotter à des individus persuadés que Satan est leur sauveur.
Il s’agit de la soixante-treizième enquête du Poulpe, ici signée par Gérard Lecas. Gabriel Lecouvreur, également connu sous le sobriquet du « Poulpe », est plein de verve et s’engage à nouveau sur une investigation a priori anodine, mais qui dissimule encore une fois un sombre complot. Énergique, érudit, aussi curieux que zélé dans son combat contre les injustices, ses fans seront particulièrement heureux de le retrouver sous cette plume. Le récit est très bien écrit, jouissif au possible, avec d’agréables doses d’humour et une réelle tension qui ne s’achève qu’à la toute fin du livre, quand l’identité du criminel ainsi que la raison des effusions de sang révélées. Le lecteur a également l’occasion de croiser des personnages croustillants, particulièrement dans le bar où le céphalopode libertaire va écluser ses bières salvatrices, et lentement remonter la piste d’un assassin retors.
Répondant parfaitement au cahier des charges et doté d’une réelle personnalité, ce Poulpe constitue une très bonne cuvée. Acide autant qu’original, nerveux et agréable à lire, voilà un opus signé Gérard Lecas on ne peut plus réussi.