Jeanne Korowa, jeune juge d'instruction parisienne, se retrouve personnellement impliquée dans une série de meurtres macabres, étrangement liés à la préhistoire, au cannibalisme et à la génétique. Elle mènera son enquête de Belleville à l'Amérique Centrale, à la poursuite d'un tueur cannibale terrifiant, pour peut-être découvrir l'origine de la violence chez l'Homme.
Quinze ans après Le Vol des Cigognes, Jean-Christophe Grangé confirme avec cette Forêt des Mânes son statut de maître du thriller en France. Une écriture fluide, un rythme infernal, une intrigue complexe et travaillée : tous les ingrédients sont à nouveau réunis pour faire vibrer le lecteur sur plus de 500 pages. Fidèle à ses habitudes, Jean-Christophe Grangé signe ici un roman incroyablement dense et d'une richesse impressionnante : que ce soit sur les thèmes de la préhistoire, de l'autisme ou de la génétique, on ne peut que saluer le travail de documentation dont a fait preuve l'auteur.
C'est également un plaisir pour le lecteur de retrouver dans ce nouveau thriller ce qui a fait le succès de précédents romans de Jean-Christophe Grangé : un mélange parfaitement dosé d'aventures, de suspense et de voyages. Si Miserere et Le Serment des Limbes se déroulaient presque exclusivement en Europe occidentale, La Forêt des Mânes nous transporte en Amérique Centrale, et permet à Jean-Christophe Grangé de nous immerger avec brio dans l'ambiance du Nicaragua, du Guatemala et de l'Argentine. Un dépaysement total, d'autant plus que l'auteur en profite pour y évoquer l'Histoire des différents pays traversés, et notamment leur passé politique.
En choisissant comme personnage principal une jeune et brillante juge d'instruction, Grangé bouscule ses habitudes. Première véritable héroïne des romans de l'auteur (Diane Thiberge, dans Le Concile de Pierre, n'était pas un modèle de féminité), Jeanne Korowa nous séduit par sa tenacité et son émotivité. Les personnages secondaires, toujours parfaitement campés, complètent le tableau.
Avec La Forêt des Mânes, son huitième roman, Jean-Christophe Grangé arrive encore à nous surprendre : ce modèle de suspense, au dénouement difficilement prévisible, vous fera à coup sûr vibrer, frémir et voyager.
Jeanne Korowa, jeune juge d'instruction parisienne, se retrouve personnellement impliquée dans une série de meurtres macabres, étrangement liés à la préhistoire, au cannibalisme et à la génétique. Elle mènera son enquête de Belleville à l'Amérique Centrale, à la poursuite d'un tueur cannibale terrifiant, pour peut-être découvrir l'origine de la violence chez l'Homme.
Quinze ans après Le Vol des Cigognes, Jean-Christophe Grangé confirme avec cette Forêt des Mânes son statut de maître du thriller en France. Une écriture fluide, un rythme infernal, une intrigue complexe et travaillée : tous les ingrédients sont à nouveau réunis pour faire vibrer le lecteur sur plus de 500 pages. Fidèle à ses habitudes, Jean-Christophe Grangé signe ici un roman incroyablement dense et d'une richesse impressionnante : que ce soit sur les thèmes de la préhistoire, de l'autisme ou de la génétique, on ne peut que saluer le travail de documentation dont a fait preuve l'auteur.
C'est également un plaisir pour le lecteur de retrouver dans ce nouveau thriller ce qui a fait le succès de précédents romans de Jean-Christophe Grangé : un mélange parfaitement dosé d'aventures, de suspense et de voyages. Si Miserere et Le Serment des Limbes se déroulaient presque exclusivement en Europe occidentale, La Forêt des Mânes nous transporte en Amérique Centrale, et permet à Jean-Christophe Grangé de nous immerger avec brio dans l'ambiance du Nicaragua, du Guatemala et de l'Argentine. Un dépaysement total, d'autant plus que l'auteur en profite pour y évoquer l'Histoire des différents pays traversés, et notamment leur passé politique.
En choisissant comme personnage principal une jeune et brillante juge d'instruction, Grangé bouscule ses habitudes. Première véritable héroïne des romans de l'auteur (Diane Thiberge, dans Le Concile de Pierre, n'était pas un modèle de féminité), Jeanne Korowa nous séduit par sa tenacité et son émotivité. Les personnages secondaires, toujours parfaitement campés, complètent le tableau.
Avec La Forêt des Mânes, son huitième roman, Jean-Christophe Grangé arrive encore à nous surprendre : ce modèle de suspense, au dénouement difficilement prévisible, vous fera à coup sûr vibrer, frémir et voyager.