8 votes
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8/10 On ne s'ennuie pas une seconde et on rigole souvent, surtout en lisant certains dialogues vraiment bien écrits.
Le petit monde de Louise Morvan est décrit à la perfection et connaissant ce coin de la Villette pour y travailler, on s'y croirait !31/01/2016 à 18:29 Kermit (409 votes, 7.4/10 de moyenne) 1
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7/10 Un des meilleurs romans de D. Sylvain (beaucoup sont très très moyens) avec la délicieuse et attachante Louise Morvan détective privée. L'intrigue se laisse portée, un bon moment de lecture.
12/08/2015 à 08:53 toutatys (93 votes, 7/10 de moyenne)
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3/10 Trop confus et compliqué pour moi, tant au niveau des personnages que des intrigues mal reliées.
06/05/2013 à 11:59 Surcouf (400 votes, 7.3/10 de moyenne)
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7/10 Une bonne histoire,de bons personnages bien qu'il ne faut pas se mélanger les pinceaux dans les membres de la famille Doméniac.Moi qui a déjà du mal avec la mienne.
16/03/2011 à 18:54 ladouille (110 votes, 7.1/10 de moyenne)
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8/10 Voilà un bon cru ! Les romans de Dominique Sylvain ne sont pas toujours de cette qualité. C'est avec plaisir qu'on retrouve Louise Morvan. Les personnages sont attachants et le suspens est bien là !
02/11/2009 à 16:47 calimero13 (1066 votes, 7.4/10 de moyenne) 1
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7/10 bon livre un peu poussif dominique sylvain a peu plus de mal avec louise morvan je l'a trouve largement meilleure avec ingird et lola on se perd un peu dans l'intrigue mais cela reste une valeur sur en france
08/08/2009 à 22:10 pasto (116 votes, 6.8/10 de moyenne)
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9/10 « La nuit de Géronimo » appartient à cette catégorie de polar qui capte l’attention du lecteur dès les premières pages grâce à cette art de nous faire vite pénétrer dans l’histoire et son décor. Les craintes de l’orpheline Philippine gagnent vite par contagion notre cerveau. Un email mystérieux vient réveiller la mort de son père survenue 22 ans auparavant, « GERONIMO N’A TUE PERSONNE, MAIS QUI A TUE GERONIMO ? »
L’auteur reprend un de ses personnages récurrents, Louise Morvan, détective davantage spécialisée dans la filature pour malversation ou adultère. Opiniâtre, elle ne lâchera pas le morceau pour dénouer l’écheveau et mettre à jour les complexes relations familiales mâtinées d’enjeux financiers colossaux. Elle devra faire fi des préventions et des accusations de ses amis du commissariat et traverser un monde où se croisent anciens du KGB, mafias russes et cartels colombiens. Le récit est admirablement structuré sans superflu tout en restant dans le vraisemblable pour nous faire mieux vivre la réalité de l’enquête. Le dénouement ou plutôt les dénouements arrivent comme un bon bouquet final. Dominique Sylvain, sans tomber dans la dénonciation écologique, nous alerte sur les dangers des OGM (comme tout bon livre, il me donne envie de commencer un autre livre, “La guerre secrète des OGM” de Kempf qui est dans ma valise).
La romancière excelle dans la peinture de ses personnages, on vit, peine ou craint le pire avec eux . Les interactions sont bien orchestrées. Un bon roman qui donne envie de découvrir davantage la plume prolifique de cette Française qui a élu domicile à Tokyo19/05/2009 à 16:11 xavier (853 votes, 7.8/10 de moyenne)
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8/10 Louise Morvan n'avait pas donné de ses nouvelles depuis 2001 et "Strad", et alors qu'elle réapparaît enfin dans cette "Nuit de Géronimo", c'est comme si huit ans ne s'étaient jamais écoulés. Enfin presque, car si les retrouvailles de Dominique Sylvain avec l'héroïne de ses débuts s'accomplissent avec bonheur, en toute évidence, la détective privée a gagné en maturité, et donc en profondeur. Ce retour aux sources n'a rien d'un manque d'inspiration ; au contraire, D.Sylvain, habituée à naviguer (et parfois à se perdre un peu) dans des intrigues compliquées, fait preuve ici d'une maîtrise remarquable pour raconter sans jamais nous égarer une sombre affaire de famille encombrée par la mafia russe, un motard magnétique et ambigu, et d'inquiétudes manipulations autour des OGM. Le style est toujours brillant, le ton enlevé, intacte l'envie de suivre Louise dans ses enquêtes en forme de perdition. Une auteure qui, de roman en roman, persiste et signe dans la qualité sans faiblir, avec une forme de simplicité et de discrétion qui force le respect, c'est à saluer, chapeau bas !
23/03/2009 à 19:37 Dodger (471 votes, 7.7/10 de moyenne) 1