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8/10 Noriko est morte assassinée alors qu’elle était enceinte, et elle arrive dans l’au-delà où on lui fait une curieuse offre : « hanter et tuer quelqu’un du monde réel ».
Je retrouve avec bonheur l’univers si caractéristique de Tsutomu Takahashi. Le trait est toujours aussi typé, noir, âpre, et sa puissance de percussion se distingue parfois dans une simple image (cf. les hommes aux cervicales explosées aux portes de leurs cellules, le sacrifice de Murata pour sauver une femme en détresse ou l’immolation du tueur obèse). Le scénario est également très réussi, avec des personnages qui ne tombent jamais dans la caricature et, même si le sujet semble de prime abord classique, son traitement est vraiment fort.13/10/2024 à 18:31 El Marco (3431 votes, 7.2/10 de moyenne) 2