C’est dans le froid glacial d’un mois de janvier qu’est retrouvé le corps d’un petit garçon au pied d’un immeuble de la banlieue de Reykjavik.
Le commissaire Erlendur et ses collègues se chargent de l’enquête concernant ce crime aussi rare qu’inquiétant, d’autant plus que le frère de la victime semble avoir disparu et que les indices manquent cruellement.
En parallèle, Erlendur reçoit de mystérieux appels téléphoniques d’une femme désespérée, qui pourrait être la disparue qu’il recherche en vain.
C’est avec grand plaisir que l’on retrouve dans Hiver arctique les personnages récurrents d’Arnaldur Indridason, le commissaire Erlendur et ses fidèles collègues Elinborg et Sigurdur Oli. Ils sont cette fois-ci confrontés au crime le plus horrible qui soit, celui d’un enfant, qui plus est sans histoires et semble-t-il apprécié de tous.
Elias, la jeune victime, et son frère Niran sont d’origine asiatique, leur mère Sunee étant venue de Thaïlande quelques années auparavant. Le crime serait-il purement raciste ? Erlendur semble en droit de se poser la question puisque l’arrivée d’étrangers en Islande ne semble pas plaire à tout le monde, y compris au sein de l’école des deux enfants. Arnaldur Indridason s’attaque ici avec beaucoup de finesse et d’intelligence à la question du racisme et de l’immigration dans la société islandaise.
Suivre cette intrigue, au rythme à des années-lumière de celui d’un thriller effréné, est un bonheur de tous les instants, le talent de l’auteur résidant essentiellement dans l’excellente description de ses personnages et de la société islandaise en général.
Avec Hiver arctique, Arnaldur Indridason signe un magnifique roman noir et confirme, s’il en était encore besoin, son grand talent à embarquer le lecteur aussi bien dans une intrigue que dans une ambiance particulière, celle de "son" Islande.
C’est dans le froid glacial d’un mois de janvier qu’est retrouvé le corps d’un petit garçon au pied d’un immeuble de la banlieue de Reykjavik.
Le commissaire Erlendur et ses collègues se chargent de l’enquête concernant ce crime aussi rare qu’inquiétant, d’autant plus que le frère de la victime semble avoir disparu et que les indices manquent cruellement.
En parallèle, Erlendur reçoit de mystérieux appels téléphoniques d’une femme désespérée, qui pourrait être la disparue qu’il recherche en vain.
C’est avec grand plaisir que l’on retrouve dans Hiver arctique les personnages récurrents d’Arnaldur Indridason, le commissaire Erlendur et ses fidèles collègues Elinborg et Sigurdur Oli. Ils sont cette fois-ci confrontés au crime le plus horrible qui soit, celui d’un enfant, qui plus est sans histoires et semble-t-il apprécié de tous.
Elias, la jeune victime, et son frère Niran sont d’origine asiatique, leur mère Sunee étant venue de Thaïlande quelques années auparavant. Le crime serait-il purement raciste ? Erlendur semble en droit de se poser la question puisque l’arrivée d’étrangers en Islande ne semble pas plaire à tout le monde, y compris au sein de l’école des deux enfants. Arnaldur Indridason s’attaque ici avec beaucoup de finesse et d’intelligence à la question du racisme et de l’immigration dans la société islandaise.
Suivre cette intrigue, au rythme à des années-lumière de celui d’un thriller effréné, est un bonheur de tous les instants, le talent de l’auteur résidant essentiellement dans l’excellente description de ses personnages et de la société islandaise en général.
Avec Hiver arctique, Arnaldur Indridason signe un magnifique roman noir et confirme, s’il en était encore besoin, son grand talent à embarquer le lecteur aussi bien dans une intrigue que dans une ambiance particulière, celle de "son" Islande.