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8/10 J’ai retrouvé avec plaisir le personnage d’Ichi, tueur à gages si atypique, capable de monstrueuses violences à l’aide de ses pieds et jambes (d’autant qu’il est toujours doté de cette espèce d’armure qui s’achève sur des lames aiguisées) tout en demeurant un être complexe et heurté comme le prouvent ses propensions au lacrymal. Ici, d’entrée de jeu, il massacre trois gangsters à l’appartement 1007. Toujours un sacré cocktail de sang et de sexe (avec des scènes marquantes, comme cette boîte remplie de doigts tranchés, de la part des membres du Kakiharagumi), et l’arrivée de ces deux tarés (doux euphémismes) que sont ces jumeaux qui doivent servir à attirer Ichi, mais dont les derniers instants les mettant en scène (scabreux) font ressortir le fait qu’ils ne sont pas que de simples proies. Encore une fois, c’est très violent et porté sur le sexe, donc hautement inconvenant, et c’est la raison pour laquelle ça m’a plu et ça continue de me plaire.
30/04/2020 à 16:05 El Marco (3430 votes, 7.2/10 de moyenne)