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8/10 Encore des graphismes sacrément trash, dès les premières planches, avec notamment cette scène de cannibalisme collectif. Nos protagonistes finissent par se diriger vers le directeur du centre, Shintaro, et ce dernier va prendre une décision très importante, lié à son enfance que l’on revoit en flash-back. Un graphisme toujours aussi précis et travaillé, et une intrigue qui creuse habilement le passé de ce centre, notamment avec l’évasion de la jeune femme, le sacrifice de trois cents employés, ou le magnifique sacrifice de M. Hanajima. De la tripaille à tous les étages, et un plan pour que ces sales bestioles disparaissent d’elles-mêmes, mais il se pourrait que la dernière scène rebatte les cartes. Toujours aussi jouissif et hautement non recommandable en raison de sa violence.
17/07/2020 à 08:25 El Marco (3456 votes, 7.2/10 de moyenne)