Coplan n'y va pas de main morte

Borodine enfourna sur la plaque chauffée au rouge le mannequin en cire. Quand les vêtements commencèrent à flamber et la cire à fondre, l'agent du K.G.B. haleta, son corps nu tressauta et son sexe se vida. Coplan redressa son arme. Ainsi, c'était aux fantasmes érotiques de l'espion de Moscou qu'il parvenait à boucler sa longue enquête, parsemée de cadavres, dont les prémices remontaient à la période sombre de la Résistance en 1944.

Espionnage

213e livre de la série Coplan

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Soumis le 05/07/2019 par LeJugeW

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