L'inconnu reprit d'une voix sourde:
Regardez-moi bien, Korbel. Si vous estimez que j'ai l'air d'un plaisantin, cette erreur d'appréciation va vous coûter la vie. En venant ici, je prenais des risques. Je ne les prenais pas pour rien.
Korbel comprit soudain qu'il avait à faire à un tueur. Il en eut même la certitude, car un détail venait de le frapper, un détail qui lui avait échappé de prime abord : l'inconnu portait des gants de soie couleur chair qui adhéraient à sa peau et se confondaient pratiquement avec elle. De plus, son arme était pourvue d'un silencieux.
162e livre de la série Coplan
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Soumis le 05/07/2019 par LeJugeW