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3/10 Moi qui n’avais guère été convaincu par le premier tome, je me suis lancé dans le deuxième, histoire de vérifier mes impressions. J’y ai retrouvé un graphisme toujours aussi sommaire, à la limite du laid, et des situations convenues au possible. Eitaro commence par dissuader du suicide une jeune femme qui habite son immeuble avec des arguments d’une banalité affligeante. Ensuite, une histoire de braquage ouvertement inspirée par l’affaire Spaggiari, et qui commence mal (la manière dont le cerveau du cambriolage se fait piéger en devient presque risible tellement elle est absurde et grotesque) et la suite est d’une fadeur incroyable. Puis une histoire autour d’incendies criminels et d’une milice d’autodéfense, inachevée, qui ne m’emballe pas des masses mais dont j’ai envie de connaître l’épilogue. Bref, non seulement rien de très nouveau avec ce deuxième opus, mais en outre, ma déception voire pire ne fait qu’augmenter.
23/06/2019 à 20:42 El Marco (3434 votes, 7.2/10 de moyenne)