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8/10 Cassandra Darke, 71 ans, une femme forte immanquablement coiffée de sa chapka, est condamnée à 200 heures de TIG et 2 ans de prison avec sursis pour avoir vendu des copies non autorisées d’œuvres d'un célèbre artiste. Une femme acariâtre qui a vu son mari la quitter pour sa soeur, Margot. Mari qui, atteint de neurodégénéréscence précoce, lui a demandé de reprendre sa galerie d'art. Où elle a commis le délit cité plus haut. Voilà qui résume les 15 premières pages d'une BD qui en compte près de 100. La suite ? Mme Drake, après avoir payé sa dette à la société, se retire dans sa maison et profite de la vie avec le peu qui lui reste. Puis songe au suicide, en rentrant chez elle. La découverte de graviers sur le sol de sa maison puis d'un revolver dans une poubelle vont l'alerter et la pousser à chercher à comprendre ce qui s'est passé avec un grand flashback... et nous, lecteur, de comprendre à quoi fait référence l'article de l'Evening Argus qui ouvre la BD...
J'ai bien aimé le dessin, les références nombreuses à l'art (et puis la référence à Caspar David Friedrich, p. 24, ne pouvait que me plaire...) et petit à petit on voit où l'auteur veut en venir. Au final une BD originale par sa forme et plaisante à lire. 7.5.27/05/2020 à 16:57 LeJugeW (1816 votes, 7.3/10 de moyenne) 2
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6/10 Une BD avec beaucoup, beaucoup de texte, au point que je le considère plus comme un roman illustré. L'ensemble n'est pas désagréable mais long à se dessiner. Le personnage de Cassandra est original, antipathique, solitaire, égoïste, acariâtre, qui a une vie très aisée et qui va avoir des ennuis. Cela va avoir pour effet de lui ouvrir les yeux sur le monde qui l’entoure. Pas trop ma 'Cup of tea'.
01/05/2020 à 16:56 Polarbear (883 votes, 7.7/10 de moyenne) 3