Après avoir réussi à localiser l’Atlantide dans Atlantis, l’équipe de Jack Howard va dans cette nouvelle aventure se lancer à la poursuite de la fameuse Menora, le chandelier d’or originel qui est un des symboles les plus anciens de l’identité juive. De la Turquie aux glaces du Groenland, Howard va rencontrer une série d’embûches mortelles car la Menora est également recherchée par un groupuscule prêt à tout pour s’approprier ce trésor que tout le monde croyait perdu.
David Gibbins signe ici un nouvel opus intéressant. En faisant parcourir le globe, il invite le lecteur à des aventures échevelées, et qui ira puiser dans les cultures romaine, viking, maya, sans compter le nazisme. Il est d’ailleurs à noter que l’auteur privilégie l’aspect intellectuel puisque de nombreux rebondissements viendront au travers de découvertes et de recoupements historiques plutôt qu’avec des péripéties spectaculaires. En effet, David Gibbins a particulièrement soigné la documentation pour étayer ses thèses, et même si certains aspects paraissent un peu tirés par les cheveux, il faut reconnaître que le roman est intéressant et original. Cependant, à trop vouloir privilégier la thèse historique, l’auteur oublie de distiller des scènes d’action, finalement peu nombreuses. Par ailleurs, certains personnages ne sont pas assez fouillés et l’intrigue multiplie les stéréotypes.
Au final, Le chandelier d’or est un ouvrage prenant mais qui fait trop souvent l’impasse sur la nervosité pour embarquer de bout-en-bout le lecteur.
Après avoir réussi à localiser l’Atlantide dans Atlantis, l’équipe de Jack Howard va dans cette nouvelle aventure se lancer à la poursuite de la fameuse Menora, le chandelier d’or originel qui est un des symboles les plus anciens de l’identité juive. De la Turquie aux glaces du Groenland, Howard va rencontrer une série d’embûches mortelles car la Menora est également recherchée par un groupuscule prêt à tout pour s’approprier ce trésor que tout le monde croyait perdu.
David Gibbins signe ici un nouvel opus intéressant. En faisant parcourir le globe, il invite le lecteur à des aventures échevelées, et qui ira puiser dans les cultures romaine, viking, maya, sans compter le nazisme. Il est d’ailleurs à noter que l’auteur privilégie l’aspect intellectuel puisque de nombreux rebondissements viendront au travers de découvertes et de recoupements historiques plutôt qu’avec des péripéties spectaculaires. En effet, David Gibbins a particulièrement soigné la documentation pour étayer ses thèses, et même si certains aspects paraissent un peu tirés par les cheveux, il faut reconnaître que le roman est intéressant et original. Cependant, à trop vouloir privilégier la thèse historique, l’auteur oublie de distiller des scènes d’action, finalement peu nombreuses. Par ailleurs, certains personnages ne sont pas assez fouillés et l’intrigue multiplie les stéréotypes.
Au final, Le chandelier d’or est un ouvrage prenant mais qui fait trop souvent l’impasse sur la nervosité pour embarquer de bout-en-bout le lecteur.