À Toulouse, parfois, à la différence des violettes, les enfants cessent de pousser, fauchés à la fleur de l’âge, au ras de la tige...
Y a plus d’enfants !
L’enfant est le père de l’homme… Mais depuis Freud on sait qu’il faut tuer le père pour devenir adulte... Y a plus d’enfants ! semble se dire Matias Vialat. Pas un joyeux l’inspecteur Matias Vialat, pas un luron… Plutôt le genre à être submergé par la noirceur des existences. Et sous le soleil toulousain, la Garonne ne charie pas qu’un accent rocailleux, les tragédies obscurcissent les enthousiasmes surtout quand ce sont des enfants qui en sont les victimes. Tous les enfants sont un peu les nôtres, leurs souffrances sont aussi dans nos chairs et nos entrailles.
Comment sortir indemnes, tombés des enfers ?
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Soumis le 26/02/2019 par LeJugeW