Cari Mora

9 votes

  • 5/10 Bof, bof et rebof ! Décevant, très lent, une intrigue confuse... Un polar que j'oublierai assez rapidement...

    01/07/2024 à 14:29 Franck 28 (726 votes, 7.7/10 de moyenne) 1

  • 6/10 Lecture de mon premier Thomas Harris, que je ne connaissais que par l'adaptation cinématographique du "Silence des agneaux". Alors, on va dire que ce fut une bonne lecture (courte et rythmée) avec toute une intrigue tournant autour du fantôme de Pablo Escobar et surtout de la découverte à Miami d'une de ses "caches au trésor" qui devient le centre de l'attention de tous les malfrats du coin. Mais, voilà, rien à voir avec le caractère particulièrement angoissant et psychologique de son roman le plus célèbre. Certes, il y a Hans-Peter Schneider, mais bon Hannibal restera toujours Hannibal.

    14/11/2020 à 20:42 Charliebbtl (128 votes, 7.5/10 de moyenne) 3

  • 3/10 Chiant est ici un euphémisme. Et pourtant, c'est bien Thomas Harris (j'ai revérifié dix fois le prénom et le nom sur la couverture), oui, Thomas Harris, l'auteur de Dragon Rouge, du Silence des Agneaux, de Black Sunday et d'Hannibal. Que des titres qui claquent, certains étant même entrés dans la culture populaire grâce aux films qui en ont été tirés. Mais là, qu'est-ce qu'il a pris à Thomas Harris de publier ce livre qui ressemble à un brouillon, une sorte de série Z insipide avec une héroïne à laquelle on n'arrive absolument pas à s'attacher et un grand méchant caricatural (Son fantasme ? S'introduire dans la villa d'Escobar en tenue de latex blanc "dérobée" lors d'une convention sadomaso... Je vous laisse méditer sur l'intérêt de dérober ce genre de combinaison lorsqu'on est une sorte de terroriste international). J'ai tenu jusqu'à la page 71.

    13/01/2020 à 00:21 Mephisto (193 votes, 7.2/10 de moyenne) 2

  • 6/10 Malgré un format assez court, l'auteur arrive à caser des narco-trafiquants, des crocodiles mangeurs d'homme, du trafic d'organes, de la traite de femmes, le casse d'un coffre-fort,les FARC, la police de Miami et même le commerce d'escargots. Bref, c'est un ensemble indigeste, qui manque de structure et de ligne directrice, et qui ne restera pas longtemps en mémoire. Livre écouté.

    08/01/2020 à 18:47 gamille67 (2431 votes, 7.3/10 de moyenne) 3

  • 2/10 Mais où est Thomas Harris qui m'avait fait flipper en lisant Le silence des agneaux.

    Avec Cari Mora Tomas Harris n'est plus que l'ombre de lui-même. Loin des tueurs en série, l'auteur nous offre le récit des aventures d'une femme forte, un peu casse-coup, immigrée aux Etats-Unis qui se trouve imbriquée dans une recherche du magot de Pablo Escobar bien malgré elle.

    Malheureusement, le rythme du roman super lent, les personnages du roman de purs clichés des romans noirs et les situations rocambolesques bâclées  rendent difficile l'accroche de ce roman.

    D'ailleurs arrivé péniblement au tiers du roman, je ne voyais pas où voulait en venir l'auteur avec cette intrigue brumeuse, fumeuse, limite grotesque et digne d'une série B. J'ai alors donc décidé de tourner prématurément et définitivement la page de ce roman sachant qu'il y avait bien mieux en attente dans ma PAL.

    27/12/2019 à 20:44 QuoiLire (361 votes, 6.7/10 de moyenne) 3

  • 8/10 Avant de commencer à rentrer dans le vif du sujet, je vais vous raconter une petite blague, okay ? Savez-vous avec quelle est la compagnie aérienne préférée de Cari Mora ? Air Maroc.

    Voilà, c'est fait.

    Cari Mora est le sixième roman de Thomas Harris, après 12 ans d’absence dans les rayons des librairies. Difficile de passer à côté de cette publication traduite par Bernard Cohen pour les éditions Calmann-Lévy.
    Malgré un début d'histoire à l'écriture particulièrement froide et quasi clinique se cache un redoutable roman. Ponctué d'ellipses permettant de resserrer l'intrigue et lui donner un côté incandescent, l'histoire avance à un rythme de plus en plus rapide.
    Comme dans l'excellent film You're Next, l’héroïne de Thomas Harris cache bien son jeu et les malfrats qui vont vouloir l'éliminer vont vite se rendre compte de leur erreur de jugement.
    Il m'aura quand même fallut bien avancer dans le livre pour définitivement comprendre que j'ai bien eu raison de poursuivre ma lecture.
    Alors si dans la forme, Thomas Harris commence son roman d'une manière peu engageante, il retourne progressivement la gêne du lecteur pour le faire entrer de plein pied dans un redoutable roman à suspense.
    Et il parvient à intégrer dans son histoire une poignée de "monstres" qui on parfaitement leur place dans le panthéon des psychopathes de Thomas Harris.
    Si comme moi, vous avez eu des doutes sur l'intérêt de lire ce roman, j'espère que cette chronique les aura dissiper.
    Bon vol !

    29/08/2019 à 12:52 Fredo (1207 votes, 7.9/10 de moyenne) 4

  • 6/10 très frustrée par ce roman. Beaucoup d'ellipses, une profusion de personnages dont on ne sait rapidement plus qui ils sont, d'autant plus que certains apparaissent très furtivement ou meurent très rapidement.
    Bref, un sentiment très mitigé à la lecture de ce livre...

    08/07/2019 à 14:01 calimero13 (1074 votes, 7.4/10 de moyenne) 1

  • 7/10 Le nouveau thriller de Thomas Harris, post-Hannibal Lecter, suscite une sorte d'intérêt distancié, car il pâtit d'une forme de précipitation, qui voit l'auteur enchaîner les séquences, et les péripéties, comme si le temps lui était compté...
    On n'a pas le loisir de réellement s'attacher à ses personnages, que, déjà, ils sont priés de quitter la distribution...
    Dommage, car certains d'entre eux auraient mérité une plus grande considération, voire, que l'histoire se concentre plus spécifiquement sur leur personne...
    En guise de trait d'union entre cette histoire de chasse au trésor et l'univers de son célèbre docteur anthropophage, l'auteur n'omet pas de parsemer son récit d'exactions au sadisme prononcé, ou suggéré, même si, là aussi, le traitement reste superficiel...

    16/06/2019 à 09:14 jackbauer (727 votes, 7.2/10 de moyenne) 6

  • 8/10 Le nouveau Thomas Harris se lit vite parce que c'est bon. Aucun temps mort. J'ai adoré tous les personnages, surtout l'héroïne Cari Mora qui en a vu de toutes les couleurs et qui n'a peur de rien. Le "méchant" est un pur psychopathe comme on les aime.
    Seul bémol, j'ai trouvé la fin un peu rapide mais on passe un bon moment et j'aurais bien vu ce roman adapté au cinéma.

    08/06/2019 à 20:56 boumkoeur (250 votes, 8.5/10 de moyenne) 4