Ariezi chercha un passage dans les épines, finit par se glisser dans une trouée; en s'égratignant cruellement les mains. Une fois de l'autre cote de la haie, les deux hommes avancèrent prudemment. Chacun de leurs pas se marquait profondément dans le sol détrempé. Le Corse se présenta côté conducteur, ouvrit la portière en pointant le canon de son arme.
Une détonation retentit soudain et le pare brise vola en éclats. Les deux voyous se couchèrent dans la boue du champ; une deuxième balle érafla la carrosserie. II se remit alors à pleuvoir très fort.
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Soumis le 01/01/2019 par LeJugeW