«Pour une souris qui m'a fixé un rendez-vous d'affaires, Mme Wertzer n'a guère le sens de l'hospitalité. Voilà un bon moment que je poireaute à la porte de sa villa, qui s'ouvre enfin sur un ravissant châssis en robe du soir. Seul, le visage détonne dans le tableau : il est d'une pâleur de cire et les yeux sont dilatés par la terreur... Je pénètre dans le hall. Elle boucle soigneusement la porte. Quand elle a fini de tripoter la serrure, elle se retourne vers moi : "Je suis Ann Wertzer, explique-t-elle. Mon mari est dans la bibliothèque. Il est mort... Un suicide, je crois."»
Il ne semble pas encore y avoir de sujet sur cet ouvrage sur le forum... Cliquez ici pour en créer un !
Soumis le 19/12/2018 par LeJugeW