Voleurs à la douzaine

(Thieves’ dozen)

4 votes

  • 7/10 Ce recueil de nouvelles m'a permis de découvrir le personnage de John Dortmunder, récurrent dans les ouvrages de Donald Westlake. J'en ai apprécié la lecture, mais je pense que les amateurs de l'auteur apprécieront plus.

    28/12/2014 à 18:44 Ssarlotte (516 votes, 7.1/10 de moyenne) 2

  • 7/10 Petit recueil de nouvelles il est vrai assez inégales, mais qui donne un bel aperçu du talent de Westlake

    31/08/2012 à 14:52 janjak (466 votes, 7.9/10 de moyenne) 2

  • 7/10 Imaginez-vous un voleur qui arrive en plein cambriolage et devient un otage ? Ce même voleur à qui un ancien détenu devenu artiste propose un casse pour faire grimper la cote de ses œuvres ? Ou encore un cheval en guise de cible pour un enlèvement ? Non ? Eh bien, c’est que vous ne connaissez pas encore Dortmunder…

    Personnage fétiche de Donald Westlake, que l’on retrouve par exemple dans Bonne conduite, Pierre qui roule ou Les Sentiers du désastre, Dortmunder est l’archétype du personnage à qui il arrive des aventures pour le moins cocasses. Voleur volé, voire volé voleur, un peu à la manière de l’arroseur arrosé, il vit dans ce recueil des péripéties drôles et toujours surprenantes. L’humour est omniprésent, dans les situations comme dans les dialogues, et l’on rit de bon cœur à de multiples reprises. Par ailleurs, c’est aussi l’occasion de découvrir une palette de personnages – complices de Dortmunder ou simples connaissances – très amusants. Cependant, il ne s’agit pas d’une simple démonstration désopilante, car les intrigues sont également réussies. Tel un leitmotiv, quasiment chacune des nouvelles qui composent ce livre comporte des rebondissements, et le final se ponctue d’une surprise enthousiasmante.

    Court, enlevé, séduisant, ce recueil d’historiettes est une petite perle. Certaines d’entre elles sont certes moins efficaces que d’autres, mais l’ensemble propose assurément un très agréable moment de décontraction.

    02/04/2012 à 18:35 El Marco (3249 votes, 7.2/10 de moyenne) 2

  • 8/10 Parce que c'est toujours un bonheur de retrouver Dortmunder. Parce que Westlake avait de l'imagination pour douze. Parce que ces 12 nouvelles sont un plaisir de gourmet

    09/11/2011 à 12:13 Deepo (73 votes, 7/10 de moyenne) 1