Paris, décembre 2006. Un chef de chorale d'origine chilienne est retrouvé assassiné dans une église arménienne de Paris.
Lionel Kasdan, un policier à la retraite qui appartient à la paroisse, se lance immédiatement sur la piste du tueur, en marge de l'enquête officielle.
Cédric Volokine, jeune flic de la Brigade de Protection des Mineurs en pleine cure de désintoxication, s'intéresse également à cette affaire qui semble impliquer des enfants.
A eux deux, ils tenteront de percer le secret du tueur et de comprendre ses motivations dans cette affaire où tout paraît graviter autour du Miserere d'Allegri...
Septième roman de Jean-Christophe Grangé, Miserere secoue le lecteur sur près de 530 pages. Avec la maîtrise qu'on lui connaît, l'auteur des Rivières Pourpres joue avec nos nerfs, nous surprend et nous terrifie jusqu'aux toutes dernières lignes.
Comme dans tout bon thriller, l'intrigue démarre sur les chapeaux de roues. En quelques pages, l'enquête est lancée et le lecteur se retrouve sur la piste du tueur avec Kasdan et Volo, ces deux flics hors-normes comme Grangé sait si bien les décrire. Et, immédiatement, la richesse du roman saute aux yeux : les pistes des enquêteurs se multiplient, mélangeant des aspects culturels, religieux, historiques, géographiques, scientifiques... A tous les niveaux, l'intrigue témoigne d'un effort de documentation et d'une précision exemplaire. Les détails foisonnent et, très vite, le lecteur se prend à rechercher comme les deux flics un trait d'union entre ces différents univers.
Pour entrevoir la clé de l'énigme, il faudra savoir encaisser des scènes d'une tension rarement atteinte en littérature policière. Grangé maîtrise l'horreur, dans son expression la plus noble : avec subtilité, sans artifice inutile, sans excès d'hémoglobine. Ici, tout est suggéré plus que montré. La peur à l'état pur.
Personnages borderline travaillés, documentation impressionnante, intrigue terrifiante : une fois de plus, Grangé remplit son contrat. Miserere s'impose tout simplement comme la crème du thriller contemporain.
Paris, décembre 2006. Un chef de chorale d'origine chilienne est retrouvé assassiné dans une église arménienne de Paris.
Lionel Kasdan, un policier à la retraite qui appartient à la paroisse, se lance immédiatement sur la piste du tueur, en marge de l'enquête officielle.
Cédric Volokine, jeune flic de la Brigade de Protection des Mineurs en pleine cure de désintoxication, s'intéresse également à cette affaire qui semble impliquer des enfants.
A eux deux, ils tenteront de percer le secret du tueur et de comprendre ses motivations dans cette affaire où tout paraît graviter autour du Miserere d'Allegri...
Septième roman de Jean-Christophe Grangé, Miserere secoue le lecteur sur près de 530 pages. Avec la maîtrise qu'on lui connaît, l'auteur des Rivières Pourpres joue avec nos nerfs, nous surprend et nous terrifie jusqu'aux toutes dernières lignes.
Comme dans tout bon thriller, l'intrigue démarre sur les chapeaux de roues. En quelques pages, l'enquête est lancée et le lecteur se retrouve sur la piste du tueur avec Kasdan et Volo, ces deux flics hors-normes comme Grangé sait si bien les décrire. Et, immédiatement, la richesse du roman saute aux yeux : les pistes des enquêteurs se multiplient, mélangeant des aspects culturels, religieux, historiques, géographiques, scientifiques... A tous les niveaux, l'intrigue témoigne d'un effort de documentation et d'une précision exemplaire. Les détails foisonnent et, très vite, le lecteur se prend à rechercher comme les deux flics un trait d'union entre ces différents univers.
Pour entrevoir la clé de l'énigme, il faudra savoir encaisser des scènes d'une tension rarement atteinte en littérature policière. Grangé maîtrise l'horreur, dans son expression la plus noble : avec subtilité, sans artifice inutile, sans excès d'hémoglobine. Ici, tout est suggéré plus que montré. La peur à l'état pur.
Personnages borderline travaillés, documentation impressionnante, intrigue terrifiante : une fois de plus, Grangé remplit son contrat. Miserere s'impose tout simplement comme la crème du thriller contemporain.