Roseanna

6 votes

  • 6/10 Découverte de la série Martin Beck avec ce livre, un peu daté et lent dû notamment à l'installation du cadre et à la découverte des personnages de la série dans ce premier épisode. L'histoire en elle même n'est pas inintéressante mais manque toutefois un peu de dynamisme. Les personnages ne sont pas franchement folichons mais bon, je réessaierai un autre épisode pour voir si ça s'emballe un peu plus.

    14/06/2017 à 08:31 Grolandrouge (1477 votes, 6.6/10 de moyenne) 3

  • 7/10 J'avais déja pu lire deux romans de ce couple d'auteurs, ça m'avait bien plu et j'abordais dès lors Roseanna avec enthousiasme.
    J'y ai retrouvé la même ambiance, la même simplicité et la même lenteur dans le rythme, bref tous les ingrédients qui ont manifestement inspiré des auteurs plus contemporains comme Mankell ou Indridason.
    Le plus difficile est justement de replacer ce roman au début des années 60, sur les moyens de la police de l'époque évidemment mais aussi sur la société en général. N'oublions pas non plus que ce polar n'a, à l'origine, pas été écrit pour un lecteur de 2017.
    Au final, je ne retiens pas ce livre comme un incontournable mais je pense qu'à l'occasion, je relirai volontiers ces auteurs.

    19/02/2017 à 11:11 mkl (178 votes, 7/10 de moyenne) 4

  • 7/10 Une belle enquête du siècle dernier

    27/06/2016 à 10:36 bludgeon (27 votes, 7/10 de moyenne)

  • 8/10 Les auteurs Maj Sjöwall et Per Wahlöö sont paraît-il à l'origine d'une école suédoise du polar. D'un cadavre de femme retrouvé dans un canal, l'objectif est de retrouver le criminel. A coups de télégramme, de visites sur le terrain, et surtout de persévérance. J'aime bien notre héros Martin Beck et je trouve ce premier opus captivant et très réussi!!

    30/10/2015 à 21:58 amaru96 (226 votes, 8/10 de moyenne) 3

  • 8/10 Dès les premières pages, j’ai constaté l’influence criante du style de ces deux auteurs, considérés comme les parents du polar scandinave, sur de nombreux auteurs comme Indridason et surtout Mankell (qui signe la préface).
    C’est très lent mais jamais ennuyeux : les auteurs cherchent à détailler de façon quasi chirurgicale les actions, les réflexions des policiers.
    On fait la rencontre de Martin Beck qui, à bien des égards, est l’aîné des Kurt Wallander (Mankell), Erlendur Sveinsson (Indridason), Varg Veum (Staalesen) ou encore Malin Fors (Kallentoft).
    J’ai pris un grand plaisir à lire cette enquête sur la mort d’une jeune femme, dont le cadavre a été retrouvé dans un canal près du second lac de Suède, le lac Vättern. Une jeune femme dont on peine à découvrir l’identité. Dont l’histoire nous amène aux Etats-Unis et jusqu’en Turquie (même si l’action du livre se déroule très majoritairement en Suède).
    Séduit par ce premier opus de la série de dix dédiée à Martin Beck que je vais poursuivre avec plaisir, je ne peux qu’inviter les amoureux du polar scandinave à se jeter sur ce Roseanna.

    18/08/2014 à 14:34 LeJugeW (1769 votes, 7.3/10 de moyenne) 2

  • 5/10 Certe, on voit toute l'influence que le couple a pu donner aux polar nordique dans les années qui ont suivies, le rythme est lent, l'enquête décortiquée, les personnages dépressifs ou lymphatiques. Mais alors il manque selon moi pas mal de "trucs" indispensables qui font un grand polar. Ainsi les motivations du criminel, sa psychologie, ne sont pas abordées et surtout le raisonnement de Beck, qui fait à priori preuve de génie ou d'intuition prodigieuse, est totalement évité. J'y ai regardé à deux fois voir si je n'avais pas loupé un chapitre!! Assez surpris finalement de l'enthousiasme général sur la toile. Déçu je suis.

    08/09/2009 à 10:57 Xave (233 votes, 6.9/10 de moyenne) 2