8/10 Voici ici un bon Caryl Ferey dans son style si particulier qui fait que ça laisse un gout étrange quand on ressort de ce roman noir. Encore une fois, tout est réuni pour pour que ça marche : une intrigue simple mais bien monté, une atmosphère oppressante, des personnages torturés (au propre comme au figuré) sombres et superbement bien campés, une écriture fluide et entrainante et enfin une noirceur fascinante.
Tout est bon dans ce roman, cependant la peinture de l'AfSud n'est peut être pas la meilleur qu'on puisse faire. en effet, je l'ai pris dans ce roman noir comme une toile de fond illustrative un tantiment limitatrice mais qui sert néanmoins très bien le roman car tout ce qu'il se passe et les personnages s'inscrivent très bien dans ce décor. Si vous souhaiter une meilleur vision de l'AfSud allez voir du coté de Margie Orford et de Deon Meyer...

23/07/2010 à 12:55 rossonere (309 votes, 7.2/10 de moyenne) 2

8/10 J'ai eu l'impression de lire un document sur l'Afrique du Sud avec 2 mots qui ressortent du livre:Misère et Violence.
L'intrigue est rondement menée avec des scènes très dures voire gôre.La fin est plutôt inhabituelle pour une fois.

14/04/2010 à 03:46 ladouille (110 votes, 7.1/10 de moyenne) 2

7/10 Zulu est un roman intéressant car il permet de plonger dans l'Afrique du Sud d'aujourd'hui. Ferey maîtrise parfaitement son sujet avec un style travaillé et agréable. En revanche, j'ai eu du mal a entrer dans l'intrigue, ne me demandez pas pourquoi, je n'en sais rien... c'est comme ça !

15/03/2010 à 16:11 Yukio (76 votes, 7.6/10 de moyenne)

8/10 Intrigue, personnages, descriptions... Tout est là dans ce grand roman noir sur l'Afrique du Sud, à déconseiller aux plus sensibles en raison de certaines scènes difficiles.

09/01/2010 à 22:20 Hoel (1163 votes, 7.6/10 de moyenne) 3

9/10 J'avais aimé Haka et Utu, j'ai vraiment adoré Zulu !
L'écriture est plus dense, le style plus fouillé et décrivant une Afrique du Sud au bord du gouffre.
Certes, dans certaines scènes on est à la limite du gore et de la violence gratuite, mais cela sert toujours utilement les descriptions et les caractères des personnages.

05/10/2009 à 18:09 Kermit (409 votes, 7.4/10 de moyenne) 3

7/10 7.5 , mais pas à la hauteur, de haka et du utu.

29/07/2009 à 16:05 holden (280 votes, 7.9/10 de moyenne)

9/10 Indispensable. C'est à la fois un thriller implacable et désespéré et à la fois un tableau ultra réaliste de la situation en Afrique du Sud, affligeante.

27/07/2009 à 22:15 Memess (262 votes, 7.5/10 de moyenne) 2

8/10 L'auteur maîtrise son sujet à la perfection. Il décrit des séquences parfois bouleversantes avec un calme absolu et d'autres à la fois très captivantes et très cinématographiques.

24/07/2009 à 14:06 MiKa (275 votes, 7.5/10 de moyenne) 2

4/10 L'histoire ne m'a jamais captivé. La seule accroche de ce livre est pour moi le portrait affligeant de l'Af du Sud.
Mais dans le genre, que ce soit pour l'intrigue ou la situation de l'Af du Sud, j'ai largement préféré Le Pic du Diable de Deon Meyer.

17/05/2009 à 11:43 erta (99 votes, 7.5/10 de moyenne)

9/10 Le dernier Ferey, « Zulu » (été 2008), emporte telle une rafale. L’écrivain nous plonge dans une Afrique du Sud qui n’a pas encore soigné ses plaies des années noires de l’apartheid. La violence s’oppose ou compose avec le racisme, la misère trempe dans les trafics de tout genre et dans un Sida omniprésent. Cette fresque d’un pays qui tente de survivre effraie ; elle semble même irréelle tant les tensions vrillent les existences. Le sud-africain Deon Meyer nous offre une surface rugueuse mais moins cahoteuse et tumultueuse. Le Français propulse des typhons qui s’abattent sur une atmosphère déjà électrique. Le travail de documentation et de recherches de qualité transporte et immerge le lecteur dans cette terre de l’extrême Afrique, une réussite sur ce point.
Ali Neuman, zoulou, chef de la police criminelle a gagné le droit à l’existence après les pires moments d’une ségrégation. Il a perdu son père dans la torture et gagné des cicatrices profondes malgré un changement symbolique de nom significatif (Neuman = nouvel homme). Ce personnage principal taillé dans un granit extérieur tout de fêlure est réussi tout comme ces êtres qui l’accompagnent fragilisés par les remous du passé et des excès.
Le flic devra naviguer dans l’obscurité des manipulations, cynismes mercantiles des multinationales, gangs sanguinaires et anciens tortionnaires reconvertis dans les affaires lucratives. La tension narrative est menée de main de maître avec des scènes fortes. Ames sensibles, buvez un scotch avant !
Une œuvre puissante, noire et tracée au scalpel qui marque et donne envie de lire les autres romans de Caryl Ferey, notamment « Utu » et « Haka

05/04/2009 à 05:08 xavier (853 votes, 7.8/10 de moyenne) 4

5/10 Passablement déçu par ce livre. Un style un peu ronflant, beaucoup de métaphores. Une histoire bancale, un peu trop tordue. Et des personnages décevants, pas assez fouillés.

29/12/2008 à 14:48 terramater (305 votes, 6.6/10 de moyenne)

8/10 Trois flics, plus attachants les uns que les autres, avec une histoire personnelle très présente et pesante, le tout en Afrique du Sud, pays pour le moins violent = un très bon roman qui se lit avec beaucoup de plaisir.

04/12/2008 à 16:55 montse (237 votes, 7.7/10 de moyenne) 3

8/10 A partir d'une intrigue sommes toutes assez classique, Caryl Férey nous livre là un superbe roman témoin d'une Afrique du Sud où tout semble aller mal, dans un style toujours aussi accrocheur. Les 3 flics sont plus attachants que les héros des autres romans car moins portés sur l'ato-destruction.

21/11/2008 à 14:08 Sybil (642 votes, 7.5/10 de moyenne) 3

10/10 Gros coup de coeur.
Une peinture sans concession de l'afrique du sud post-Apatheid.Et en même temps un super polar! Grosse réussite de l'année 2008

17/10/2008 à 12:29 fabien (230 votes, 7.9/10 de moyenne) 2

7/10 Noir et efficace. Un relent du Dalhia noir là dessous avec une touche d'Ellroy dans le style. Prenant et très bon.

24/09/2008 à 16:07 Xave (233 votes, 6.9/10 de moyenne) 1

8/10 Un tableau sans concession de l'Afrique du Sud, post-Apartheid mais toujours gangrenée par une violence omniprésente et polymorphe : résultat, un roman noir, très noir ! A force de vouloir faire le tour de la question, Ferey en fait peut-être un peu trop dans le registre ethnologique, mais l'intérêt de l'intrigue et la puissance des personnages balancent largement cette restriction.

13/04/2008 à 20:50 Dodger (471 votes, 7.7/10 de moyenne) 4