Monterrey, Mexique.
Fernanda a vingt ans. C'est une étudiante insouciante. Elle rencontre Julio et tombe follement amoureuse. Peu à peu, et sans qu'elle s'en rende compte, il la coupe de ses amis, de sa famille... Elle est contrainte d'arrêter ses études et passe ses journées à l'attendre dans sa belle villa. Mais quelle est vraiment son occupation, lui qui doit être escorté de gorilles tatoués à chacun de ses déplacements ?
Un jour, Fernanda a besoin d'en apprendre davantage pour savoir où elle va. La fin de l'insouciance et le début des ennuis...
Présenté avec malice par l'éditrice comme un roman d'amour, Ni de jour ni de nuit n'est pas pour autant à conseiller aux amateurs et amatrices de Barbara Cartland et autres bluettes de type Harlequin. Il n'y a bien que Fernanda pour ne pas vouloir voir tout de suite la vérité. Pourquoi un jeune type comme Julio roule sur l'or et vit de manière très sécurisée, entouré de toute une bande de gros bras patibulaires mais presque ? Et pourquoi même des édiles locaux semblent être aux petits soins pour son homme ?
Dans cet anti-conte de fée, la princesse vit seule et enfermée, non pas dans un donjon mais dans une villa. En revanche, le prince n'est pas là pour la libérer mais pour l'enfermer. Qui plus est, il est loin d'être aussi charmant que prévu...
Les sentiments de Fernanda, sur laquelle repose complètement le roman, sont décrits avec subtilité. Entre grand amour et syndrome de Stockholm, il n'y a parfois qu'un pas. Et si l'amour rend aveugle, il y a toujours un espoir de retrouver la vue. D'ailleurs, et si Fernanda n'était pas la potiche qu'elle paraît être ?
Sur fond de violence, de guerre des cartels et de corruption généralisée, et avec en bande-son des titres aux sonorités hip-hop et reggaeton, Orfa Alarcón signe un premier texte rythmé et maîtrisé. Un roman d'amour oui, mais sombre et féroce, qui déménage du début à la fin, réussie d'ailleurs.
Monterrey, Mexique.
Fernanda a vingt ans. C'est une étudiante insouciante. Elle rencontre Julio et tombe follement amoureuse. Peu à peu, et sans qu'elle s'en rende compte, il la coupe de ses amis, de sa famille... Elle est contrainte d'arrêter ses études et passe ses journées à l'attendre dans sa belle villa. Mais quelle est vraiment son occupation, lui qui doit être escorté de gorilles tatoués à chacun de ses déplacements ?
Un jour, Fernanda a besoin d'en apprendre davantage pour savoir où elle va. La fin de l'insouciance et le début des ennuis...
Présenté avec malice par l'éditrice comme un roman d'amour, Ni de jour ni de nuit n'est pas pour autant à conseiller aux amateurs et amatrices de Barbara Cartland et autres bluettes de type Harlequin. Il n'y a bien que Fernanda pour ne pas vouloir voir tout de suite la vérité. Pourquoi un jeune type comme Julio roule sur l'or et vit de manière très sécurisée, entouré de toute une bande de gros bras patibulaires mais presque ? Et pourquoi même des édiles locaux semblent être aux petits soins pour son homme ?
Dans cet anti-conte de fée, la princesse vit seule et enfermée, non pas dans un donjon mais dans une villa. En revanche, le prince n'est pas là pour la libérer mais pour l'enfermer. Qui plus est, il est loin d'être aussi charmant que prévu...
Les sentiments de Fernanda, sur laquelle repose complètement le roman, sont décrits avec subtilité. Entre grand amour et syndrome de Stockholm, il n'y a parfois qu'un pas. Et si l'amour rend aveugle, il y a toujours un espoir de retrouver la vue. D'ailleurs, et si Fernanda n'était pas la potiche qu'elle paraît être ?
Sur fond de violence, de guerre des cartels et de corruption généralisée, et avec en bande-son des titres aux sonorités hip-hop et reggaeton, Orfa Alarcón signe un premier texte rythmé et maîtrisé. Un roman d'amour oui, mais sombre et féroce, qui déménage du début à la fin, réussie d'ailleurs.