20 votes
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9/10 Encore un excellent roman de la part de cette auteure ! C'est noir, humaniste, addictif, sensible, violent... La liste des adjectifs est longue pour qualifier ce polar. On souffre avec Tama et Tayri, mais on s'émeut pas de la mort de leurs bourreaux... Une dénonciation de l'esclavage moderne en France qui perdure malgré les lois votées... Les esclavagistes (souvent des nantis) seraient-ils au-dessus des lois... ?
29/10/2023 à 12:12 Franck 28 (726 votes, 7.7/10 de moyenne) 5
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7/10 L'écriture est simple et fluide, le récit est sordide et la naïveté du personnage principal peut agacer, mais l'ensemble se tire en longueur, la fin est interminable et très vite le rythme est cassé. Dommage, le sujet était intéressant. Livre écouté.
21/02/2022 à 19:01 gamille67 (2431 votes, 7.3/10 de moyenne) 3
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8/10 J'ai longtemps retardé la lecture de ce roman, la quatrième de couverture n'annonçant rien de bien réjouissant.
Finalement il aura fallut une version audio pour me décider.
Je m'étais pas trompé, c'est plus que sombre.
La première moitié de ce pavé, n'est que tortures, sévices, physiques et mentales, au point que cela en devient déprimant et nuit au plaisir de l'écoute. Trop, c'est trop.
La suite apporte un peu plus d'action et de diversité, mais c'est toujours très noir.
Malgré tout, on se laisse embarquer, cherchant avec espoir poindre un peu de lumière. Mais c'est du Giebel...07/08/2021 à 21:44 charlice (387 votes, 7.7/10 de moyenne) 4
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10/10 En France, l'esclavage a été aboli en 1848.
Si Tama avait su lire, avait su le sens du mot aboli, avait compris qu'elle était esclave, elle aurait bien ri dès son arrivée dans cette famille sans humanité.
Et si elle avait ri, elle aurait sûrement eu une punition, des châtiments corporels et psychologiques hors-normes.
Nous faisant témoins de ces atrocités, le premier tiers est détestable pour le lecteur que j'ai été.
Pas sur le plan de l'écriture, ni du rythme - au contraire - mais bel et bien sur le fond. L'histoire de cette petite fille qui s'adresse à nous comme si on lisait son journal trop intime, sans pouvoir rien n'y faire, m'a donné envie de lui dire que ses rêves de fuite devaient se concrétiser. J'aurais voulu entrer dans le livre, l'aider, je regrettais même de le refermer en me disant que si je la laissais là, j'étais moi-même coupable de la laisser dans cette situation. C'est la 2e fois de ma vie de lecteur que ça m'arrive !
Puissance 1000 !
Une réussite du genre.
Ce n'est pas la seule histoire de démarrage car ces premiers chapitres ultra-courts s'alternent avec une autre intrigue, plus lente, plus sèche, plus mystérieuse.
Le second tiers est plus abominable. Encore plus gênant, si tant est que ça puisse l'être.
On veut maintenant détourner le regard. Presque s'arrêter.
Mais non, on continue encore car on veut l'aider, on veut qu'elle s'en sorte. C'est inhumain. C'est réel. C'est en France. C'est aujourd'hui.
Le dernier tiers nous fait enfin comprendre les 2 histoires imbriquées.
Sans réelle surprise.
Juste des réponses. Les 2/3 du livre avaient réussi à nous plonger dans une horreur indicible, à vomir. Je n'ai jamais ressenti ça. Je trouve à peine les mots pour décrire ma lecture. Cette plongée dans l'enfer.
Ce n'est pas inventé, c'est vrai. Tout est vrai. On veut tuer nous-mêmes. On craint de découvrir qu'un jour une personne qu'on a croisée a infligé tout ça a un être humain, de découvrir quelqu'un qui l'a subi.
Penser que certains tortionnaires ont peut-être lu ce livre est insoutenable de potentialité vu le nombre de lecteurs de Karine Giebel. Un vrai échantillon représentatif de la société doit sûrement contenir de tels sous-humains.
Âmes sensibles, lisez vraiment autre chose. En 40 ans de lectures, je n'ai jamais lu un livre où les personnages souffraient autant. Jamais ! En 20 ans de thrillers non plus. Jamais !
J'enchaîne toujours un livre après avoir tourné la dernière page d'une histoire. Là, je vais laisser tranquille ces personnages que j'ai accompagné pendant 10 heures. Je passerai à autre chose plus tard. Pour eux. Pour moi.
Un dérisoire 10/10 pour la puissance de ce récit réaliste qui m'a retourné le bide et l'esprit.25/07/2021 à 18:54 athanagor (292 votes, 7.8/10 de moyenne) 7
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9/10 Karine Giebel est une maitresse dans l’art de jouer avec les nerfs et les sentiments de ses lecteurs. Elle sait toucher ses points sensibles, là où ils ne sortiront pas indemnes. Dans ce roman, elle décrit la violence la plus crue, l’exploitation d’êtres humains de la manière la plus cruelle. Et avec une touche de naturelle et d’évidence. Et servi le long de plus de 700 pages. Et bien évidemment, ses pages défilent, tant on veut connaître le sort de ces deux malheureuses.
Il y a Tama. Encore jeune enfant, elle est vendue par sa famille algérienne, pour pouvoir subvenir à la vie des autres membres de la famille. Elle arrive en France et est placée chez les Charandon. Elle y vit dans une buanderie, pour faire la cuisine et le ménage. Elle se nourrit des restes de repas, et est privée de toute sortie et de toute scolarité. En plus des brimades, toute faute se paye cash par des privations de nourriture et autres violences physiques. Sa force la sauvera d’une mort évidente et son envie et son espoir lui feront apprendre, seule, la lecture, comme une évasion, et l’amour lui apportera l’espoir d’une vie normale.
Il y a également cette fille amnésique que Gabriel, un reclus dans une ferme isolée dans la campagne profonde, a retrouvée inconsciente dans sa voiture accidentée. Gabriel qui tue des personnes et qui se fait une obligation de devoir tuer cette fille. Il a même creusé sa tombe dans les bois. Mais une voix, celle de sa défunte fille, lui conseille de la considérer comme un ange venu du ciel.
Toutes blessent la dernière tue pourrait être perçue comme une version moderne des Misérables. Mais ce roman noir est un condensé de terreurs physiques et psychologiques. Les coups pleuvent sur Tama que le lecteur se prend en pleine face. Les espoirs sont comme des éclaircies temporaires : le ciel s’assombrit et cache tout soleil porteur d’espérance. L’amour y côtoie la haine, la foi, le désespoir total. Ce livre est violent, percutant et fait mal. C’est ce qui fait qu’il hantera le lecteur longtemps après l’avoir fermé.
23/07/2021 à 18:50 JohnSteed (631 votes, 7.7/10 de moyenne) 8
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7/10 "Toutes blessent la dernière tue" est un thriller palpitant, effrayant et surprenant à la fois par sa construction que je vous laisse découvrir. L'esclavage moderne est une réalité que nous ne voyons pas mais qui existe bel et bien. La maltraitance, quelque soit sa forme, est une réalité que nous ne voulons pas toujours voir mais qui existe bel et bien. Tama existe, sous d'autres noms, d'autres trajectoires de vie. Karine Giebel en fait un antihéros bouleversant et lumineux malgré tout. Avec le coeur bien accroché, lisez-le, il résonnera longtemps en vous.
03/05/2021 à 23:26 Nelfe (227 votes, 7.5/10 de moyenne) 2
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9/10 Un roman qui m'a bouleversé ! Une histoire dure et bien écrite. On suit la pauvre Tama et on souffre avec elle.
Je le conseille mais âme sensible s'abstenir.29/04/2021 à 20:22 Sara Kroche (5 votes, 9.4/10 de moyenne) 5
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9/10 Karine Giebel réussit le pari de nous tenir en haleine jusqu’au bout du roman et quand je dis « jusqu’au bout », je veux dire jusqu’à l’épilogue soit tout au long des 786 pages que comporte ce roman. Et en cela, je lui tire mon chapeau ! Pas un seul temps mort au point qu’on en arrive à maudire tout ce qui pourrait interrompre notre lecture. Au final, un excellent thriller mené de main de maître par Karine Giebel et qui nous dévoile une facette de notre monde peu ragoûtant. A dévorer dès que possible, si ce n’est déjà fait.
24/04/2020 à 21:12 Charliebbtl (128 votes, 7.5/10 de moyenne) 8
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9/10 "Mieux vaut la liberté dans les enfers que l'esclavage dans les cieux" est une citation d'Anatole France que Karine Giebel reprend dans ce roman et cela le résume parfaitement bien.
Dur, cruel, violent, désenchanté, ... est le monde dans lequel gravitent les personnages de ce roman.
Et malheureusement, Giebel ne dramatise même pas le sort de ces jeunes esclaves...
J'ai adoré ce roman qu'il m'a été presqu'impossible de lâcher tant je voulais découvrir le sort de cette formidable héroïne qu'est Tama, pour laquelle on ne peut avoir que de l'empathie.
Un roman passionnant et poignant.
Pour moi, le meilleur roman de Karine Giebel (9,5 plus que 9 donc).02/12/2019 à 23:01 ericdesh (983 votes, 7.4/10 de moyenne) 7
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9/10 Encore un excellent roman de cette auteure. Il est très difficile de le classer dans une catégorie, mais ce qui est sur c'est que l'ambiance y est très noire. Comme à son habitude, l'auteure n'est pas tendre avec ses protagonistes et ils errent dans la violence poussée très loin. Par moment, un peu de ciel bleu, mais c'est pour pouvoir retomber encore plus profond dans l'abîme et se retrouver englués encore plus profondément dans leur destinée. Un roman encore une fois difficile à lâcher avec des personnages jamais que blanc ou noir qu'on se plait à apprécier ou détester aux longs des pages. Une excellente lecture qui laisse quelques traces.
18/11/2019 à 06:26 bidibule (257 votes, 7.9/10 de moyenne) 10
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9/10 Chef d oeuvre de giebel.. Noir, sombre, humain.. Top
11/06/2019 à 23:46 susperia82 (53 votes, 8/10 de moyenne) 4
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8/10 Horriblissime, parce que tellement réel.
Karine Giebel signe un de ses sinon son meilleur roman dans le fond et la thématique . La forme reste celle qui lui est propre, phrases courtes et percutantes, dialogues très vifs et nombreux, ce n’est pas le génie du style littéraire qu’on cherche en ouvrant un de ses bouquins.
J’ai grandi depuis que j’ai lu Meurtres pour Redemption, et ce n’est pas un mal car l’histoire de Tama, proche de celle de Marianne, est vraiment difficile à lire. On parle là d’une fillette arrachée à sa famille à l’âge de 9 ans pour servir des foyers français, dormir dans des placards et être violee à l’occasion .. au cours des 750 pages, il y en a des chocs.
J’ai lu l’histoire d’une traite car j’étais en apnée et nauséeuse, je voulais connaître la suite. On n’est pas dans le documentaire, ce n’est pas le propos de la romancière, mais je n’ai aucun doute sur la réalité de la situation. Je ferme le livre et je reste prostrée. Que faire ...
Le sujet est alarmant et terriblement préoccupant car les servitudes de cette nature existent et existeront, sont et seront toujours cachées. “Toutes blessent , la dernière tue” n’est probablement pas un roman que je conseillerai à un public qui ne connaîtrait pas l’auteur.
Violence sourde, rare, profonde. Du Giebel grand cru.22/11/2018 à 21:54 clemence (339 votes, 7.7/10 de moyenne) 10
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9/10 « Vulnerant omnes, ultima necat.
Toutes les heures m’ont blessée, la dernière me tuera. »
Toute classification de ce thriller serait inexacte … disons qu’il s’agit d’une étonnante histoire d’amour, cruelle et haletante, en milieu hostile. Mais au-delà de cela, ces 740 pages sont surtout un manifeste contre l’esclavage moderne, qu’il soit domestique ou sexuel. Tama est à l’image de ces toutes jeunes enfants déracinées, confiées à des familles métropolitaines sans scrupules et soumises à l’exploitation la plus ignoble, celle qui frappe des faibles vendues par leurs familles, elles aussi victimes du mensonge … Ne nous leurrons pas … cet asservissement frappe à côté de chez nous et ne sommes-nous pas complices du fait de ne pas vouloir voir ?
Quelques rares moments de répit au cours des errances de Tama peuvent laisser espérer une issue positive, c’est cependant bien une aventure humaine, cruelle et haletante que nous allons vivre avec les petits braqueurs ratés, les voitures de luxe et les trafics en tous genres.
Karine Giébel met tout son talent de conteuse au service du suspense qui entoure cette intrigue, sur deux tableaux, deux temporalités différentes mais imbriquées qui permettent au lecteur de découvrir le passé de Tama. Avec ce récit aussi fort que Meurtres pour rédemption, sans aucun doute Tama restera au panthéon de ses personnages emblématiques, au même titre de Marianne.
11/11/2018 à 16:21 Dany33 (535 votes, 8/10 de moyenne) 13
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9/10 Un roman d'une extrême violence qui ne peut pas vous laisser indifférent.Un livre que l'on ne lâche pas par l'intensité de ses chapitres.
Accrochez-vous !!! ça secoue.05/07/2018 à 17:59 ladouille (110 votes, 7.1/10 de moyenne) 10
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10/10 Intense, noir, puissant... que d'émotions..... Karine nous emmène dans le monde ignoble de l'esclavage. A découvrir absolument.
24/06/2018 à 17:20 lady (131 votes, 7.7/10 de moyenne) 9
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9/10 Un très grand cru, des chapitres courts qui donnent le rythme , un roman sur l'esclavage moderne et sur la noirceur de l'âme.
09/06/2018 à 08:35 Diesel155 (141 votes, 7.5/10 de moyenne) 8
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9/10 Un livre vraiment exceptionnel, dans la même veine que Meurtres pour Rédemption. Il y a toujours ce côté romanesque, cette intensité de folie et les qualités indéniables de conteuse de Karine Giebel qui nous hypnotisent de bout en bout. J'ai été captivée et j'ai englouti les pages les unes après les autres, presque d'une traite. Toutes blessent, la dernière tue est désormais gravé dans ma mémoire à tout jamais.
Oui mais...C'est le plus dur des titres de l'auteure (et pourtant elle avait déjà placé la barre haute de ce côté là). Si les scènes violentes étaient peut-être légitimes dans Meurtres pour rédemption, compte tenu du contexte et de la personnalité de l'héroïne, là, c'est totalement injustifié. Le personnage principal est une petite fille, pure et innocente, qui ne tombe que sur des pourritures dans un cadre banal et quotidien où la violence extrême n'a, logiquement, pas sa place.
Sans le sadisme et les scènes de torture, nombreuses, qui émaillent le roman, j'aurais mis 10/10. Mais là, j'ai vraiment trouvé que Karine dépassait les limites. Elle n'avait pas besoin de ça pour écrire une grande histoire.27/04/2018 à 16:55 Ironheart (848 votes, 7.4/10 de moyenne) 14
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9/10 Du très bon Giebel! On y retrouve toute la noirceur qui nous avait fait apprécier Meurtres Pour rédemption. Avec le même soucis du détail qui en fait certes un gros pavé, mais qui nous permet surtout de bien rentrer dans la psychologie des personnages. En tout cas j'aimerai pas être le héros d'un de ces polars...
23/04/2018 à 21:00 guimouts (428 votes, 7.8/10 de moyenne) 8
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8/10 Jusqu'à quel point la maltraitance physique et/ou psychologique est-elle supportable ?
Jusqu'à quel niveau de douleur peut-on s'oublier, pour résister ?
La capacité de résilience est au cœur du nouveau thriller "coups" de poing de Karine Giebel, qui gravit un nouvel échelon dans le dévoiement de la nature humaine ...
Ici, comme souvent avec Giebel, pas de violence suggérée, mais une violence exposée, voire surexposée... Format XXL, les tortures subies par la jeune Tama posent la question de la pertinence de certaines scènes, à laquelle répond l'auteure, en toute fin de roman...
Si toutes blessent, et la dernière tue, durant ma lecture, certaines se sont, parfois, étirées inutilement ; le péché mignon de Karine Giebel, cette prolixité adverbiale, est (re)venu parasité la progression d'une intrigue qui aurait mérité davantage de sécheresse...
J'ai néanmoins retrouvé avec bonheur l'auteure qui m'avait scotchée avec " Meurtres pour rédemption", son ardeur, sa frénésie, qui manquait dans ses derniers romans, et qui lui permet de jouer de tout son savoir-faire et de toute son habileté scénaristique pour nous tenir en haleine, sur plus de 700 pages...
Elle sait rallumer la lumière, en sondant les recoins les plus sombres du genre humain, pour mettre en valeur ces individus que l'on s'évertue à dissimuler...
12/04/2018 à 15:50 jackbauer (727 votes, 7.2/10 de moyenne) 8
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8/10 Karine Giebel nous entraine dans la noirceur humaine autour de l'esclavage moderne. A travers ces 700 pages, on partage le parcours de Tama, jeune fille arrachée à son Maroc natal par la promesse d'un meilleur avenir en France. Son parcours est poignant et terrifiant ! Une histoire d'amour en fil conducteur et une fin à la Karine Giebel ! Très bon moment de lecture !
08/04/2018 à 11:36 Luzlïa (207 votes, 7.8/10 de moyenne) 6