L'Homme du lac

(Kleifarvatn)

28 votes

  • 9/10 J'apprécie toujours cet auteur Islandais, j'aime l'ambiance de ses polars, le mélange passé-présent. Bref tout me ravi.

    08/10/2008 à 14:39 hennesey (204 votes, 7.9/10 de moyenne) 1

  • 8/10 Indridason reste probablement un des auteurs les plus doués de sa génération; il réussit à mêler histoire et géographie islandaise, avec un sens incroyable de la narration, un flic plus qu'attachant...Grandiose comme ses autres romans d'ailleurs!

    11/04/2008 à 21:36 couleuvre (1 vote, 8/10 de moyenne) 1

  • 6/10 Après le choc de La femme en vert, j'ai trouvé ce roman bien inférieur. Un bon titre, mais les personnages sont plus fades, moins attachants. Lu il y a un mois, il ne m'en reste plus grand chose...

    12/11/2014 à 21:27 zonedead (417 votes, 7.4/10 de moyenne)

  • 7/10 J'ai eu du mal à rentrer dedans et je reste sur ma faim.

    17/01/2014 à 09:14 seb62 (26 votes, 7.6/10 de moyenne)

  • 6/10 bonne histoire mais j'ai eu un peu mal a rentrer dedans ,....

    12/01/2013 à 22:05 pasto (116 votes, 6.8/10 de moyenne)

  • 5/10 j ai ete tres decu par ce livre le recit melant present et passe de l histoire avec un grand h de l islande ( l influence sovietique et americaine pendant la guerre froide) est concut avant tout pour informer les lecteurs islandais de leur passe mais est relativement sans grand interet pour les autres surtout avec la lourdeur d ecriture qui n arrange rien.

    09/11/2010 à 21:44 latimer (705 votes, 6.9/10 de moyenne)

  • 8/10 Indridason parvient à maintenir sa série Erlandur à un très haut niveau. Encore une fois, la solution de l'énigme vient du passé; ici, dans la désillusion de jeunes communistes. Passionnant.

    30/06/2010 à 17:57 Deepo (73 votes, 7/10 de moyenne)

  • 8/10 Toujours aussi bon de lire Indridason. Quatrième volet des enquêtes d’Erlendur et de ses collègues. Un squelette est retrouvé dans un lac asséché attaché à un vieil émetteur radio d’origine soviétique. S’en suit une enquête qui oscille entre passé, à Leipzig, où un groupe d’étudiants islandais poursuit ses études au sein d’une université pour parfaire leur connaissance du communisme. Et le présent où Erlendur enquête sur l’identité du squelette.
    Erlendur est toujours cet être hanté par la disparition de son frère, dépité de ne pouvoir faire sortir sa fille de cet engrenage qui la consume. (drogue). C’est un être marqué qui commence à revivre grâce à sa nouvelle amie, aux contacts de ces collègues qui le bouscule afin qu’il s’ouvre plus aux autres. Son fils aussi est plus présent.
    Indridason nous touche avec justesse avec ses personnages très humains. Très proche de nous. C’est un plaisir chaque fois renouvelé de le lire. Il se dégage toujours une espèce de mélancolie après la lecture de ses livres. « L’homme du lac » reste dans la droite ligne des précédents tomes, mais pour le moment « La femme en vert » reste mon préféré.

    12/09/2008 à 16:31 terramater (305 votes, 6.6/10 de moyenne)