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4/10 J'ai lu le début du roman avec envie. Il y a de la précision dans le choix et l'économie des mots pour décrire l'atmosphère, les paysages, les personnages. L'intrigue, comme le décor, est bien plantée. C'est progressif, bien amené, prenant quoi ! Mais le dernier quart m'a vraiment déçue : tout va trop vite, le soufflé retombe, pouf. L'auteur m'a fait des promesses qu'il n'a pas tenues... Déçue.
17/10/2019 à 11:30 bibliosgdc (13 votes, 8.2/10 de moyenne) 2
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7/10 Invariablement quand je me plonge dans la lecture d’un conte, d’un récit sylvestre, mon esprit s’incline vers celle de Julien Gracq pour « Un balcon en forêt » édité en 1958. Le côté contemplatif, passif du lieu sied parfois à y décrire une atmosphère pesante, angoissante. L’économie du mot et des superlatifs convient de même à y implanter un registre aride, d’où l’isolement concourt, en contrepoint, à assembler l’inertie, propice au raptus…. Cette histoire romancée correspond justement à ces critères et l’on peut se questionner sur les passages écrits et ceux vécus, en ayant la connaissance du type d’existence du géniteur de l’ouvrage.
21/02/2018 à 12:01 chouchou (603 votes, 7.6/10 de moyenne) 2