Elle s’appelle Sarah Anitra Holcomb. Elle et sa famille s’installent dans le Montana. Des rêves, des espoirs, et des désillusions. Belle comme cela n’est guère permis, la jeune Sarah va faire chavirer des cœurs et des âmes, et désarçonner les hommes malgré son jeune âge. Jusqu’à sa rencontre avec Karl, un violoniste, qui va faire voler en éclats une certaine forme de candeur.
Tout le monde connaît Jim Harisson, son œuvre, son style et sa gueule mémorable. Cette nouvelle, extraite des Jeux de la nuit, est un petit bijou. Environ cent vingt pages où la littérature blanche et noire s’entremêlent en un habile et poignant opus hachuré. Le personnage de Sarah retient immédiatement l’attention, avec sa fougue, ses errements. Elle va découvrir, en vrac, cet État, l’amitié, l’appétit pour les sciences, la littérature, et les premiers émois amoureux. Une fille de quinze ans, brillante et entière, mélange de force et de faiblesse, capable de se passionner tout autant pour la botanique, le piano ou les romans classiques que pour l’usage des armes à feu. Et ce que va lui faire subir Karl sera un déclencheur. Un détonateur qui va mettre en exergue, avec des mots singuliers et secs, des notions comme la culpabilité, les désenchantements de la jeunesse ou la rédemption.
Un ouvrage fort, qui est également un magnifique cri de douleur et de joie. Une ode à la fraîcheur doublée d’une diatribe intelligente contre la monstruosité des hommes.
Elle s’appelle Sarah Anitra Holcomb. Elle et sa famille s’installent dans le Montana. Des rêves, des espoirs, et des désillusions. Belle comme cela n’est guère permis, la jeune Sarah va faire chavirer des cœurs et des âmes, et désarçonner les hommes malgré son jeune âge. Jusqu’à sa rencontre avec Karl, un violoniste, qui va faire voler en éclats une certaine forme de candeur.
Tout le monde connaît Jim Harisson, son œuvre, son style et sa gueule mémorable. Cette nouvelle, extraite des Jeux de la nuit, est un petit bijou. Environ cent vingt pages où la littérature blanche et noire s’entremêlent en un habile et poignant opus hachuré. Le personnage de Sarah retient immédiatement l’attention, avec sa fougue, ses errements. Elle va découvrir, en vrac, cet État, l’amitié, l’appétit pour les sciences, la littérature, et les premiers émois amoureux. Une fille de quinze ans, brillante et entière, mélange de force et de faiblesse, capable de se passionner tout autant pour la botanique, le piano ou les romans classiques que pour l’usage des armes à feu. Et ce que va lui faire subir Karl sera un déclencheur. Un détonateur qui va mettre en exergue, avec des mots singuliers et secs, des notions comme la culpabilité, les désenchantements de la jeunesse ou la rédemption.
Un ouvrage fort, qui est également un magnifique cri de douleur et de joie. Une ode à la fraîcheur doublée d’une diatribe intelligente contre la monstruosité des hommes.