9 votes
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8/10 Après l'excellent "L'affaire Isobel Wine", je retrouve avec plaisir Darian Richards, toujours aussi border line avec le protocole.
Si l'histoire est un peu plus classique, elle est sublimée (à mon goût) par sa version audio et je vais m'empresser d'écouter la troisième enquête de Darian.
Je crois que je pourrais écouter la lecture du botin par Roland Agami :)14/05/2022 à 01:26 charlice (389 votes, 7.7/10 de moyenne) 4
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5/10 Une intrigue assez linéaire, tout droit destinée à un téléfilm sans grand suspens ou rebondissements. Le seul souvenir majeur à retenir est la description de l'Australie et de ses plages .... autant dire davantage un guide touristique qu'un véritable polar.
15/07/2020 à 18:36 fred69 (85 votes, 6.5/10 de moyenne) 1
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5/10 darian richards ,policier émérite de le brigade criminelle de melbourne démissionne de son poste confronté à trop de douleurs de larmes et de chagrin.à peine installé dans un coin perdu de l australie la disparition de jeunes filles l intrigue bientôt.devant l impuissance de la police locale il décide de mener l enquête à sa façon...je dois dire que j ai été déçu par ce roman qui manque de rythme et d actions avec un peu trop de longueurs.par contre le tueur en série est bien gratiné dans le genre psychopathe.le héros misanthrope et solitaire est bien campé.on est quand même loin de michael connelly.
30/03/2020 à 20:27 barberouge (364 votes, 7/10 de moyenne) 3
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7/10 Ce premier roman de l'auteur ne tient pas sa promesse. Il annonce nous faire découvrir le nouveau Harry Bosch australien, c'était l'une des principales raisons de mon choix de lecture.
Si globalement la lecture est agréable, fluide et distrayante, il n'y a pour autant aucun point commun avec les romans de l'excellent Connelly, qui pourrait sans doute être un peu vexé. Le personnage principal est plus proche de l'inspecteur Harry, un justicier qui fait sa propre loi, au risque de mettre en péril des innocents.
Le style est également très différent : on est ici très loin du réalisme clinique, mais plus proche de l'action à tout prix.27/08/2019 à 16:19 gamille67 (2432 votes, 7.3/10 de moyenne) 5
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9/10 De la bombe! Enfin un polar qui m'a fait palpiter sur le thème "tueurs en série", ça faisait longtemps!
Tout est excellent, le héro flic solitaire, le tueur complètement barré et tous les autres personnages.
L'histoire demeure classique sur la poursuite d'un tueur en serie mais c'est bien écrit.
Il m'a fait penser au poète.
Seul regret de ne pas l'avoir découvert plus tôt.
On est à la fois dans la tête du flic, du tueur et des victimes.
Vraiment top!20/07/2019 à 22:11 boumkoeur (250 votes, 8.5/10 de moyenne) 4
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8/10 Un « john connolly » like australien !! Un livre sans coupure, droit au but, parfois complexe dans la conception des chapitres ou plusieurs personnages parlent chacun leur tour, après chaque alinéa... A part ça, une ambiance terrible avec un méchant glauquissime et une histoire bien prenante dans les coins paumés du bush...
11/07/2019 à 11:54 jasonkite (261 votes, 6.9/10 de moyenne) 3
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9/10 Darian Richards a quitté par la petite porte sa vie d’enquêteur au sein de la police de Melbourne. Celui qui a le meilleur taux d’élucidation d’affaires criminelles avait fait une promesse à Diane, la mère de Lorna, une victime du Violeur du Train : qu’elle retrouverait sa fille vivante. Comme les précédentes. Mais deux mois après sa disparition, le doute n’était plus permis : elle était morte. Ne supportant plus les meurtres, les enquêtes, les captures, ces morts par les tueurs, synonymes de cauchemars, de victimes qui l’appelaient dans son sommeil, il a rendu son badge.
Ayant déménagé dans un cottage au bord de la Noosa, sur la côte est de l’Australie, Darian s’apprête à mener une vie frugale et à rester assis au bord de l’eau pendant quelques années.
Mais plusieurs filles disparaissent mystérieusement dans le comté. Aussi, ses cauchemars reviennent. Et la promesse non tenue faite quelques mois auparavant revient le hanter. Il décide dès lors de mener son enquête. Il s’appuiera sur son meilleur ami, Casey, un ex-gangster de Melbourne, et sur sa compagne, Maria, la belle et jeune agent de police qu’il saura bien manipuler. Il pourra compter également sur le mystérieux geek, Isosceles. Quand il ne travaille pas pour la CIA ou les services secrets australiens, il rend service gracieusement à Darian.
Dans son premier livre consacré à son personnage Darian Richards, Tony Cavanaugh nous plonge dans une affaire aussi noire que terrifiante. En faisant parler les différents protagonistes, son héro ténébreux au caractère bien trempé, et ce tueur en série aussi abominable qu’effrayant, l’auteur australien montre son talent dans ce polar qui bouleversera immanquablement ses lecteurs.03/07/2019 à 22:32 JohnSteed (631 votes, 7.7/10 de moyenne) 6
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8/10 En confirmant les promesses ébauchées dans L'Affaire Isobel Vine, Tony Cavanaugh offre à son personnage récurrent ses galons de héros à suivre à l'avenir...
Une enquête sur le fil de la légalité, qui, petit à petit, se transforme en jeu du chat et de la souris, entre Darian Richards, cousin aussie de Charlie Parker et de l'inspecteur Harry, et un tueur en série particulièrement barré...
Il y a longtemps que je n'avais pas été aussi mal à l'aise devant les exactions commises par un " méchant de roman", Cavanaugh n'hésitant pas à charger la mule rayon pathologique...
Un côté assumé et dérangeant, qui ne plaira pas à tout le monde, mais qui donne un côté inéluctable à cet affrontement de haut vol, et qui colle parfaitement au caractère jusque-boutiste et torturé de Richards...
La prose de Cavanaugh s'accordant parfaitement au déroulé des événements, moitié goguenarde, moitié sadique, souvent désenchantée...15/12/2018 à 21:42 jackbauer (728 votes, 7.2/10 de moyenne) 6
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9/10 1ère enquête du super-flic Darian Richards mais la 2ème publiée chez après L'Affaire Isobel Vine (cela ne gêne en rien).
Une histoire d'une rare intensité opposant donc Darian Richards en pleine pause dans sa carrière à un tueur en série particulièrement détestable. Cavanaugh alternant les chapitres où l'un et l'autre sont le narrateur. Et autant vous dire que les chapitres qui nous placent dans la tête du tueur sont parfois assez répugnant.
Le rythme est soutenu,c'est carré. A l'image de la "machine" Richards qui, quand il ne se retire pas du jeu pour cause de ras le bol, a tout d'un Dirty Harry version wallabie mais encore plus froid, déterminé et implacable que son modèle.
Un face à face de haut niveau.
05/09/2018 à 22:27 Fab (882 votes, 8/10 de moyenne) 8