Je rencontrai Franck Dessertines à... VilliéMorgon ! Nous étions de la même race, nous devînmes les meilleurs amis du monde. Nous partagions le même amour pour Lyon, les bons gueuletons et les femmes. Nous flânions dans la ville, à la meilleure époque de l'armée, la fin de l'automne.
Tout aurait pu continuer ainsi, dans la quiète douceur d'une amitié sans problème.
Seulement voilà : un truand notoire, René Vital, dit «Le Caladois», s'évada de la prison de La Talaudière, pour se venger de Pierre Berthet, le joueur professionnel qui l'avait donné.
Et le Caladois était l'ami d'enfance de Dessertines…
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Soumis le 25/09/2017 par El Marco