A Londres, au début des années 1930, les deux détectives Andrew Singleton et James Trelawney sont appelés par la veuve de Conan Doyle à enquêter sur des faits bien étranges. Le 221 de la rue Baker Street sembe hanté ; de plus, une série de crimes ensanglante la capitale anglaise. Très rapidement, le duo va se rendre compte que les auteurs de ces meurtres semblent être Jack l’Eventreur, Dracula, Mr Hyde et Dorian Gray !
Premier opus inaugurant la série d’enquêtes de ces détectives de l’étrange, Le Fantôme de Baker Street constitue un roman à énigme attachant et original. François Bourland a recréé avec talent l’ambiance du Londres du début du siècle dernier et s’appuie sur une solide documentation concernant les expériences spirites et la vie de Conan Doyle, le célèbre inventeur de Sherlock Holmes. S’il exploite la carte du surnaturel qu’il maîtrise sans l’ombre d’un doute, il est cependant dommage que ce roman soit si linéaire et sans rebondissement : on aurait aimé quelques coups de théâtre ainsi qu’un peu plus de nervosité dans le récit. Le Fantôme de Baker Street est un ouvrage intéressant et atypique, mais pas indispensable.
A Londres, au début des années 1930, les deux détectives Andrew Singleton et James Trelawney sont appelés par la veuve de Conan Doyle à enquêter sur des faits bien étranges. Le 221 de la rue Baker Street sembe hanté ; de plus, une série de crimes ensanglante la capitale anglaise. Très rapidement, le duo va se rendre compte que les auteurs de ces meurtres semblent être Jack l’Eventreur, Dracula, Mr Hyde et Dorian Gray !
Premier opus inaugurant la série d’enquêtes de ces détectives de l’étrange, Le Fantôme de Baker Street constitue un roman à énigme attachant et original. François Bourland a recréé avec talent l’ambiance du Londres du début du siècle dernier et s’appuie sur une solide documentation concernant les expériences spirites et la vie de Conan Doyle, le célèbre inventeur de Sherlock Holmes. S’il exploite la carte du surnaturel qu’il maîtrise sans l’ombre d’un doute, il est cependant dommage que ce roman soit si linéaire et sans rebondissement : on aurait aimé quelques coups de théâtre ainsi qu’un peu plus de nervosité dans le récit. Le Fantôme de Baker Street est un ouvrage intéressant et atypique, mais pas indispensable.