Le critique d’art Jeremy Grove est retrouvé calciné dans une chambre fermée de l’intérieur, une empreinte de pied fourchu découverte sur place. L’agent spécial du FBI Pendergast vient prêter main forte à son ancien collaborateur D’Agosta dans cette enquête si étrange, et qui amènera ce duo de policiers hors pair à côtoyer les milieux interlopes de l’art et de l’espionnage militaire, alors que d’autres personnes viennent à mourir consumées, une odeur de soufre flottant dans les airs.
Après Relic, Le grenier des enfers, La chambre des curiosités et Les croassements de la nuit, Aloysius X. L. Pendergast revient avec une investigation haute en couleurs. Malgré la longueur du livre, l’ensemble se lit avec délice, le lecteur aura bien du mal à s’extraire des rebondissements multiples concoctés par Douglas Preston et Lincoln Child. Le style est toujours aussi agréable, l’intrigue est particulièrement bien ficelée, avec une série d’explications finales absolument formidables, et qui laisse apparaître quelles seront les prochaines aventures de Pendergast. Cet opus est un habile mélange de roman d’espionnage, de thriller et de roman d’action : palpitant !
Pour conclure, Le violon du diable est assurément un excellent roman à découvrir d’urgence, et qui, après la petite déception que constituait Les croassements de la nuit, sonne le retour en fanfare de l’agent spécial le plus atypique et excitant de la littérature policière.
Le critique d’art Jeremy Grove est retrouvé calciné dans une chambre fermée de l’intérieur, une empreinte de pied fourchu découverte sur place. L’agent spécial du FBI Pendergast vient prêter main forte à son ancien collaborateur D’Agosta dans cette enquête si étrange, et qui amènera ce duo de policiers hors pair à côtoyer les milieux interlopes de l’art et de l’espionnage militaire, alors que d’autres personnes viennent à mourir consumées, une odeur de soufre flottant dans les airs.
Après Relic, Le grenier des enfers, La chambre des curiosités et Les croassements de la nuit, Aloysius X. L. Pendergast revient avec une investigation haute en couleurs. Malgré la longueur du livre, l’ensemble se lit avec délice, le lecteur aura bien du mal à s’extraire des rebondissements multiples concoctés par Douglas Preston et Lincoln Child. Le style est toujours aussi agréable, l’intrigue est particulièrement bien ficelée, avec une série d’explications finales absolument formidables, et qui laisse apparaître quelles seront les prochaines aventures de Pendergast. Cet opus est un habile mélange de roman d’espionnage, de thriller et de roman d’action : palpitant !
Pour conclure, Le violon du diable est assurément un excellent roman à découvrir d’urgence, et qui, après la petite déception que constituait Les croassements de la nuit, sonne le retour en fanfare de l’agent spécial le plus atypique et excitant de la littérature policière.