Les caprices de Dottie, sous le regard trop indulgent de sa mère, la loyauté d'Eric, qu'une amitié née trop brusquement aveugle, le besoin de rendre service du brave Schmidt, à qui on ne demande rien pourtant, et cet homme, Mertzen, qui rôde avec son chien et qui cherche la vérité parce qu'il est en vacances et qu'il s'ennuie, tout cela suffit à créer l'ambiance d'un drame que personne ne pouvait prévoir et dont les témoins silencieux sont les sapins, avec cette sournoise odeur de résine qui exalte et grise en secret. Et dans cette atmosphère subtilement née d'un ensemble de gestes inconscients, Vitto le repris de justice, Vitto le coupable, est peut-être le plus innocent de tous !
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Soumis le 06/09/2017 par El Marco