En plein Watergate, la nouvelle éclate comme une nouvelle et menaçante rafale à Washington : à bord d'un destroyer américain qui revenait de Saigon, via un détour par le golfe d'Haïphong, une sanglante mutinerie a fait des morts. Plusieurs parmi les 18 auxiliaires féminines de la Navy que ramenait le navire, ont été violées, blessées. L'une des « deux hautes personnalités étrangères », chargées de contrôler les modalités d'armistice dans le golfe d'Haïphong a été tuée.
Au « 20350 » du Pentagone, section Navy, tout vire à l'affolement : l'équipage mutiné menace de livrer le destroyer, y compris les mines très spéciales qu'il ramène, au Front rouge du Cambodge si ses conditions ne sont pas acceptées. Ces conditions ? Un chantage à l'échelle de l'Amérique qui fait trembler Nixon lui-même.
Ordre est donné par le Secrétariat d'Etat à la Navy de couler le bateau, que toutes les marines communistes du monde surnomment à présent « U.S.S. Potemkine ».
Encore faut-il le retrouver. Il échappe à tous les radars. Cependant qu'au fond d'une anse perdue débute pour les 18 femmes « Waves et les 15 marins une étrange aventure, le piège se tend à partir d'un PC radio proche du fameux pont de la rivière Kwaï, en Thaïlande.
Force M. en pleine action, si le piège échoue, ses conséquences dramatiques n'ont été prévues par personne. Ni par les mutins, ni par les lance-fusées rouges qui, à l'embouchure du Mékong, gardent une veille attentive.
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Soumis le 30/08/2017 par LeJugeW