7/10 On se perd un peu dans cette histoire dans l’histoire, dans ce pays ou la chaleur rends fou.
Un peu décousu mais intéressant

26/01/2019 à 09:16 tduvi (405 votes, 7.5/10 de moyenne) 2

6/10 Globalement plutôt déçu par ce nouveau roman de Ian Manook, mais je ne sais pas trop dire pourquoi. Une évidence : il n'a rien à voir avec la trilogie "mongole". On a presque du mal à reconnaître l'auteur, tant le style est différent. La construction du roman est très originale, et non dénuée d'intérêt. L'auteur démontre qu'il a une connaissance approfondie du Brésil, mais je pense que l'une des raisons de mon impression négative réside dans le style un brin pompeux, avec une profusion de mots brésiliens et des phrases truffées d'adjectifs et de mots peu usités dans la langue française, un ensemble qui alourdit le récit jusqu'à l'indigestion.

21/01/2018 à 18:24 gamille67 (2419 votes, 7.3/10 de moyenne) 2

7/10 « Lire un roman, c’est aimer croire un mensonge »

Lire un roman, c’est aimer croire un mensonge
Sur cette phrase, issue des méandres de l’imaginaire de Ian Manook, je pourrais disserter sur des pages et des pages. Je pourrais argumenter ou contre-argumenter mais cela ne servirait en rien ce roman. Il suffit simplement de sortir ces mots de leur contexte et d’aborder cette histoire l’esprit vierge de toute attente, comme si l’on espérait rien de « Mato grosso », si ce n’est un plaisir éphémère et une découverte radicalement différente des précédents écrits de l’auteur.

07/10/2017 à 07:52 PoisonIvy (346 votes, 7.7/10 de moyenne) 5

8/10 Mato Grosso est un roman qui a une âme, à l’image du paysage foisonnant où il se déroule. Dur aussi, par ses personnages complexes, assez peu avenants. Un récit où l’immédiateté du présent s’entrechoque avec les blessures du passé, au travers du point de vue distordu du personnage principal, écrivain de son état. Une mise en abîme, parfois déroutante, souvent ensorcelante.

04/10/2017 à 06:33 Gruz (299 votes, 7.8/10 de moyenne) 6