La Femme au serpent

3 votes

  • 6/10 Divertissant, sympathique, une plongée dans le Paris des années 20. Personnages attachants, intrigue plaisante... Un assez bon moment de lecture...

    06/03/2023 à 22:58 Franck 28 (720 votes, 7.7/10 de moyenne)

  • 6/10 Ne vous y trompez pas, la femme au serpent est bel et bien un polar d'époques. Dans ce roman , se déroulant dans le Paris des années 20 , les deux soeurs cachées dérrière le pseudonyme de Claude Izner nous entraînent à le rencontre de Jérémy, jeune pianiste sans le sou à la recherche de ses origines. Bien malgré lui, le voilà projeté au coeur d'une série de meurtres , le rapprochant toujours plus de la quête de sa famille. Avec pour seules armes , son sens de l'observation aigü et sa réflexion, il va demeler un écheveau de meurtres et mettre à jour un complot qui n'a que bien trop duré.
    Même si "la femme au serpent" ne renouvelle pas le genre, et n'a rien de spectaculaire, il reste un polar très plaisant à lire. Le vocabulaire, un peu suranné, et l'époque à laquelle se déroule l'histoire , lui donnent un charme certain. Les personnages foisonnants sont attachants , chacun dans son style, du voyou chapardeur des rues, au pianiste éperdu d'amour, le lecteur y trouve à s'attacher.
    Une lecture agréable, pour ce petit polar d'époque sans prétention que je vous recommande.

    15/07/2017 à 06:56 alex1783 (39 votes, 7.7/10 de moyenne) 2

  • 7/10 Un pseudonyme pour deux sœurs qui en sont à leur 17ème roman et le personnage central n’est plus Victor Legris, quoiqu’encore présent, il cède sa place à Jeremy Nelson, jeune pianiste de jazz.
    Dépaysant, car le lecteur est emmené dans le Paris de 1921, aux côtés de Jeremy pianiste de jazz courant le contrat et qui entame une double quête. La première est celle de ses origines, son père qui l’a abandonné en très jeune âge et la seconde celle des meurtriers d’un ami. Et s’il s’agissait d’un meurtrier en série dont la signature serait le serpent et la carte postale laissés sur les lieux de crimes? Dans le milieu du music-hall tout n’est ni rose ni amour ni bienveillance … il en fera les frais. Quant à la reconstitution de son arbre généalogique, ça n’est pas gagné et il faut malheureusement le dire, un peu touffu pour celui qui ne prend pas de notes au cours de sa lecture.
    Le vocabulaire et le mode de vie de l’entre-deux-guerres nous apportent cependant une petite dose d’exotisme bien agréable.

    08/07/2017 à 19:13 Dany33 (535 votes, 8/10 de moyenne) 1