Orbs patria nostra. Le monde est notre patrie.
Condottieres, Gardes Suisses ou corps francs sont relégués aux confins de l’histoire ou du roman lorsque Maxence Stroobants se tatoue la devise des mercenaires sur le corps.
Au 21ème siècle, il vend son savoir-faire de combattant au plus offrant.
De l’Irak au Niger, du Mali en Syrie, lui et ses compagnons escortent, sécurisent, défendent les intérêts politiques et économiques de pays ou d’entreprises internationales.
Mais lorsque la guerre rapporte trop d’argent et devient un business de multinationales tentaculaires, les gouvernements s’en inquiètent.
Et tant pis si à l’époque de la guerre de basse intensité, les gouvernements utilisent les nouveaux mercenaires pour assurer la sale besogne.
Peut-être que Stroobants et les siens ont trop vite oublié la première règle de la guerre qui ne dit pas son nom : un mercenaire n’a pas droit au statut de combattant ou de prisonnier de guerre.
Mais ce n’est pas sur le champ de bataille que Stroobants va devoir sauver sa peau.
Les ors de la République et les cours de justice occidentales vont s’avérer des terrains bien plus dangereux qu’une ligne de front.
Le monde est notre patrie est la devise des mercenaires.
C'est aussi un roman noir qui navigue en eaux troubles. En Irak, au Nigéria, en Syrie, au Mali, les nouvelles sociétés de sécurité privées protègent pour de l'argent. Beaucoup d'argent.
Un suspens haletant que vous aurez du mal à lâcher avant le dénouement.
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Soumis le 26/09/2016 par El Marco