Les pas précipités arrivent dans la pièce voisine, la traversent.
Je me retourne pour faire face à la porte. Je lève mon pistolet. J'ai du mal à le tenir serré, encore plus de mal à lever la main. Je n'aurais jamais cru qu'un simple pistolet pouvait être aussi lourd.
Lourd... Lourd...
Qu'ils entrent vite, sinon je ne vais plus être capable de rester le bras tendu. Ma main va faiblir, lâcher le pistolet.
Je serai à leur merci...
Et Elle entrera... avec son sourire... son éternel sourire...
... Le sourire du Diable...
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Soumis le 03/08/2016 par El Marco