La Voie fiscale

6 votes

  • 5/10 Décevant. Une apologie du fiscalisme, dont on voit peu l'intérêt. Un thème qui ne fait pas trop rêver, en temps normal. On a beau l'habiller, ici, autour d'un pseudo James Bond aux pleins pouvoirs, çà a bien du mal à passer. Et les petites phrases spirituelles en pleine fusillade, alors là, çà clache carrément…
    Pas le meilleur de Desberg, qui nous avait habitué à mieux.

    23/06/2020 à 04:24 Lucas 2.0 (456 votes, 7.7/10 de moyenne) 3

  • 7/10 Un premier tome qui donne envie de lire le suivant, surtout que le récit n'est pas achevé dans le 1. Beaucoup de rythme, un peu d'humour et un dessin bien calé. On n'apprend pas grand chose sur le personnage principal, peut-être sera-t-il plus développé par la suite ?

    13/06/2020 à 18:13 gamille67 (2418 votes, 7.3/10 de moyenne) 1

  • 6/10 – Vous... Vous avez lu tout ça dans sa dernière déclaration fiscale ?
    – Oui. Le reste, Loewenstein me l'apprendra lui-même. Montrez-moi vos frais professionnels, Cheney, et je vous dirai qui vous êtes !
    Paru au siècle dernier (1999), La voie fiscale est le premier opus d'I.R.$. une série toujours en cours 21 ans plus tard après... 21 tomes. On y faisait la connaissance de Larry B. Max, un brillant inspecteur de l'Internal Revenue Service, l'agence gouvernementale des États-Unis qui collecte l'impôt et fait respecter les lois fiscales. C'est surtout ce dernier volet qui concerne Larry, qui traque les fraudeurs avec des moyens à faire pâlir le F.B.I.
    Dessins franco-belges classiques, scénario solide, action à gogo, rebondissements multiples... : le parallèle avec les Largo Winch et autres XIII est assez facile à faire. Seulement, Larry n'a pas l'ombre de leur charisme ou de leur profondeur. Son côté playboy américain "parfait" est assez horripilant, une espèce de sous-James Bond, les gadgets en moins. Dans cet opus, certaines répliques, en pleine fusillade, prêtent également à sourire. Heureusement, l'intrigue est efficace et donne même envie de poursuivre l'aventure.

    27/04/2020 à 23:09 Hoel (1163 votes, 7.6/10 de moyenne) 3

  • 8/10 Un dessin "classe" à l'image du héros, Larry B. Max, agent de l' I.R.S. (Internal Revenue Service) chargé de la perception des impôts aux Etats-Unis. Je n'aurais pensé m'intéresser à une BD avec un agent des impôts comme héros et pourtant !
    Ce premier tome ne nous donne pas toutes les réponses aux questions posées, il faudra pour cela ouvrir le tome 2.

    20/04/2020 à 21:31 LeJugeW (1809 votes, 7.3/10 de moyenne) 2

  • 6/10 L’IRS, pour « Internal Revenue Service », permet de récupérer l’argent que tentent de frauder des Américains peu scrupuleux (doux euphémisme). Parmi l’un de ces dix agents, Larry B. Max. Un personnage héroïque et cinématographique des termes, à savoir beau gosse, athlétique et brillant, sans la moindre aspérité. Son rare passe-temps est d’appeler Gloria au téléphone, une call-girl à l’identité incertaine. Côté boulot, un accident de voiture va le mettre sur la trace de la spoliation des biens appartenant aux Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale. Un graphisme un peu daté (mais la BD a tout de même plus de vingt ans), de l’action juste ce qu’il faut (à mi-chemin entre le côté hollywoodien et outrancier de la chose et le minimum syndical que les lecteurs de ce genre de BD peuvent attendre), et un scénario plutôt intéressant. Mais je reste un peu sur ma faim, tant pour l’esthétique un peu trop aseptisée à mon goût, et le récit qui ne creuse pas assez le sillon (mais peut-être que le tome suivant contredira mon jugement).

    13/04/2020 à 14:24 El Marco (3430 votes, 7.2/10 de moyenne) 2

  • 7/10 Cette série illustre les tribulations d’un super agent du fisc américain : l’IRS.
    Le héros est tel James Bond, beau, agile dans le maniement des armes, navigant dans un milieu de gens aisé débusquant les contrevenants oubliant de déclarer une part de leur fortune auquel sont soumis sans exception l’ensemble des citoyens américains, même les tueurs sur gages.
    Dans ce 1er épisode (puis le 2ème car les BD fonctionnent en diptyque), il est question des richesses détournées par les nazis au détriment des juifs pendant la 2nd guerre mondiale et du secret bancaire suisse.
    Le dessin me semble classique complètement au service du scénario.

    09/08/2016 à 12:14 Alice (316 votes, 7.5/10 de moyenne) 4