White Coffee

3 votes

  • 7/10 Un bon polar mais dont le rythme très lent m'a dérangée par moment.Toutefois la plume de Sophie Loubière fait effet et cela reste un très bon moment .

    16/10/2016 à 12:52 alex1783 (39 votes, 7.7/10 de moyenne) 2

  • 7/10 Il y a de l’amour dans White coffee, de l’étrangeté, de l’émotion. Un roman transgenre qui m’a parfois perdu, m’a retrouvé ensuite. Un vrai jeu de piste littéraire qui ne fait aucune concession aux modes, et où le fil de l’intrigue semble parfois nous échapper, jusqu’à comprendre que ce fil conducteur n’est pas unique.

    14/10/2016 à 07:37 Gruz (299 votes, 7.8/10 de moyenne) 2

  • 6/10 Plusieurs angles d’analyse pour ce roman paru chez Fleuve noir dont on pourrait s’attendre à une certaine dose de suspense.
    Pour le suspense je suis restée sur ma faim jusqu’au troisième quart de cette histoire qui comporte plusieurs actions simultanées.
    La première, suite du Black coffee, pleine de références au précédent volume, fait état des prolongements de l’enquête et plus précisément de la quête des cadavres du tueur en série de la route 66. Selon l’avertissement aux lecteurs ce roman peut se lire sans connaître le premier tome. C’est cependant dommage car ce pan de l’intrigue échappe ainsi en grande partie, à la compréhension du lecteur. J’ai cependant goûté l’évocation du Bagdad Café et de sa réplique contemporaine.
    La deuxième en Lorraine où Lola et Pierre essayent de se reconstruire chacun à sa façon. On y approche les mondes concurrentiels du show-biz et de l’édition, sans concession.
    La troisième où Desmond joue le chasseur de fantômes et/ou d’écureuils, dans une communauté nord-américaine privilégiée. Entre paranormal et démoniaque … peu convaincant
    La quatrième qui relate les amours de Lola et Desmond … sans grand intérêt.
    Peu de suspense donc et l’on se demande parfois où l’auteure veut nous amener.

    02/10/2016 à 18:03 Dany33 (535 votes, 8/10 de moyenne) 2