La passion mortelle de Gisèle s’appelle Edouard mais ils finiront par faire lit à part…
La lumière disparaît sous les plinthes. Le froid s’installe. Il a bien fallu allumer la lampe.
Je suis lasse. La radio gémit sur des ondes inaudibles. Je m’accroche aux lambeaux des mots.
Encore une nuit à affronter. Une nuit d’attente. J’appréhende la disparition complète du jour. Quand les ombres surgissent, j’ai peur de ne plus rien maîtriser et de me mettre à hurler.
Je ne peux pas, je ne veux plus dormir.
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Soumis le 05/06/2016 par El Marco