La guerre, le " close-combat ", ça, je connaissais. Et c'était pour mes qualités supposées d'ex-commando que le dénommé Sarek m'avait engagé comme garde du corps. Mais la guerre des nerfs, ça me rendit tout de suite nerveux. Parce que, avec mon poussah de nouveau patron, sa femme beaucoup trop belle pour lui et son incroyable, son effroyable lardeuss qu'il devait porter même au lit, il y avait de quoi faire déserter toute une division d'élite.
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Soumis le 24/09/2007 par El Marco