Etienne Séguin, résidant à Montréal, accepte un poste de professeur de littérature à Drummondville, ce qui va l’obliger à effectuer de nombreux allers-retours entre les deux villes. Une nuit, il prend en stop un dénommé Alex Salvail, jeune homme de son âge. Très vite, Etienne se rend compte qu’ils ont certainement dû se connaître lors de leur enfance, période de sa vie qu’Etienne a complètement oubliée en raison d’une amnésie. Qui est cet Alex Salvail et que lui veut-il ? Et surtout, quels sont ces jeux auxquels tous deux ont participé il y a bien des années ?
Le Passager constitue une nouvelle réussite littéraire de l’auteur de Les sept jours du talion. Avec une écriture simple et directe, Patrick Senécal plonge rapidement le lecteur au centre d’un suspense psychologique maîtrisé et réaliste. En à peine plus de deux cents pages, il devient difficile de s’extraire du récit, singulier et intrigant, alternant les moments présents et les rares bribes de souvenirs d’Etienne, très accrocheurs. D’ailleurs, la concision de ce roman à suspense alliée à la succession de chapitres courts est telle que les ultimes rebondissements interviendront en quelques heures : à croire que c’est en fait le lecteur qui est le passager de cette histoire si bien conduite par Patrick Senécal qui renouvelle avec intelligence le thème littéraire de l’auto-stoppeur.
Etienne Séguin, résidant à Montréal, accepte un poste de professeur de littérature à Drummondville, ce qui va l’obliger à effectuer de nombreux allers-retours entre les deux villes. Une nuit, il prend en stop un dénommé Alex Salvail, jeune homme de son âge. Très vite, Etienne se rend compte qu’ils ont certainement dû se connaître lors de leur enfance, période de sa vie qu’Etienne a complètement oubliée en raison d’une amnésie. Qui est cet Alex Salvail et que lui veut-il ? Et surtout, quels sont ces jeux auxquels tous deux ont participé il y a bien des années ?
Le Passager constitue une nouvelle réussite littéraire de l’auteur de Les sept jours du talion. Avec une écriture simple et directe, Patrick Senécal plonge rapidement le lecteur au centre d’un suspense psychologique maîtrisé et réaliste. En à peine plus de deux cents pages, il devient difficile de s’extraire du récit, singulier et intrigant, alternant les moments présents et les rares bribes de souvenirs d’Etienne, très accrocheurs. D’ailleurs, la concision de ce roman à suspense alliée à la succession de chapitres courts est telle que les ultimes rebondissements interviendront en quelques heures : à croire que c’est en fait le lecteur qui est le passager de cette histoire si bien conduite par Patrick Senécal qui renouvelle avec intelligence le thème littéraire de l’auto-stoppeur.