Vent coulis

Effectuant l’intérim de son époux, la Mère Noël tombe sur Sam à la langue bien pendue…

Ce mouflet, il a l’air plutôt intelligent et sensible malgré les apparences :
« Autrefois, à Noël, la maison sentait les raisins qui trempent dans le rhum. La mère faisait toujours cuire un cake le matin, il y avait l’odeur du sapin et celle du feu de la veillée… Elle n’a pas été ramonée depuis longtemps, cette cheminée !
— On l’a jamais allumée.
— Je vois.

S’il y a des nuances de gris en littérature noire, la nouvelle de Manon Torielli serait d’une nuance « gris clair ». Le dialogue entre la Mère Noël et ce gamin déluré déroule une musique triste ragaillardie par la perspective de jours meilleurs.

Roman noir

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Soumis le 22/12/2015 par El Marco

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