Le Champ des sirènes

Faudrait voir à ne pas te méprendre, mon p’tit loup. Les sirènes qui flottent dans ce roman ne chantent pas l’porc d’Alexandrie. Par contre, tel Ulysse ficelé à son mât, leurs mélopées n’en finissent pas d’entrer dans mon être. Leurs gorges m’appellent, me hèlent, m’attirent, me tirent… Alors-moi, vous m’connaissez, courageux comme pas deux, j’ai entrepris la traversée jusqu’au territoire des Morts.
Allez, entre et fais ton trou… y en a plein : des avec du poil autour, des trous de balle, des trouducs et des derniers aussi. Prends la place du mort car, foie de Balthazar, la Gueuse est présente partout.

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Soumis le 02/09/2015 par El Marco

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