Quelqu'un pour qui trembler

3 votes

  • 9/10 Quel régal ! Des personnages qu'on aimerait rencontrer (à commencer par Thomas), de l'humour (aussi bien dans les dialogues que dans les situations), de l'optimisme mais surtout de l'humanité. Qu'est ce que ce roman fait du bien !!!

    10/04/2017 à 19:38 ericdesh (976 votes, 7.4/10 de moyenne) 3

  • 5/10 Ayant pourtant 2 zouaves pour qui trembler, je n'ai absolument pas été touché par le nouvel opus de Gilles Legardinier; contrairement à ses autres livres, à l'effet euphorisant et revigorant, et qui m'avaient franchement emballé, et même remué, ici, je n'ai pas pu aller plus loin que le premier quart du roman... Peut-être que, pour une fois, j'ai regretté que la réalité soit trop éloignée de la fiction, et que cette idéalisation du rapport parental ne prenne pas un tour un peu moins gentillet...
    Peut-être que cette fois, j'ai regretté le côté trop lisse du personnage principal, pas assez azimuté, même si la galerie de personnages de la résidence de seniors mérite le détour...
    Peut-être, me rends-je compte, que c'est la part féminine de Gilles Legardinier, quand elle s'exprime et qu'elle " prend le pouvoir", qui me séduit le plus...
    Peut-être que ce n'était tout simplement pas le bon moment, peut-être me suis-je senti de trop au milieu des retrouvailles entre Thomas et sa fille, plus observateur que complice...

    08/11/2015 à 16:03 jackbauer (725 votes, 7.2/10 de moyenne) 2

  • 9/10 Oui ces bouquins devraient être remboursés par la sécurité sociale, on sait quand on les ouvre que l’on va passer un moment de bonheur et en sortir bourré d’optimisme. Cette fois pas de narration à la première personne du féminin mais un héros mâle qui découvre sa paternité par hasard alors qu’il se trouve depuis vingt ans en mission humanitaire à l’autre bout du monde. Avec Thomas donc, le lecteur va découvrir que quel que soit l’âge ou la condition sociale, humaine ou animale, le secret du bonheur est d’avoir pour objectif de protéger ceux que l’on aime … et qu’il n’y a pas d’âge pour faire des bêtises. Comme dans les autres romans de la série féline, beaucoup de jubilation à se promener avec Gilles Legardinier dans cette maison de retraite et beaucoup de regret à quitter ses personnages hauts en couleurs.
    Le paradoxe Legardinier : plus tu globiches, plus tu tournes vite les pages… plus tu arrives vite à la fin et plus tu attends le suivant … Bref il n’écrit jamais assez vite l’auteur !

    07/10/2015 à 19:24 Dany33 (535 votes, 8/10 de moyenne) 3