La fête du siècle

(Che la festa cominci)

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  • 8/10 Ammaniti nous dépeint là une Italie Psych-Rock à l'inverse de ses précédents tableaux réalistes. Pari osé, déroutant où le fond et la forme s'adapte à son contexte et nous permet de constater que l'auteur possède une palette d'écrivain multicolore et malléable. Dans cette ambiance déjantée, frustre, noire, mais plutôt grise, la substance extraite aigre douce abolit ses codes et défie sa conscience d'écriture. Chacun de ses livres façonne un joyau d'une matière brute digne de lapidaire passionné.

    21/07/2015 à 23:44 chouchou (597 votes, 7.6/10 de moyenne) 2