Ce recueil contient onze longues nouvelles, déjà publiées pour la plupart chez d'autres éditeurs :
- Mortel smartphone (2013, Oskar éditions)
- La Particule, nouvelle parue dans le recueil Hors-limites (1992, Julliard)
- Les Négatifs de la Canebière (2012, Le Monde)
- Je tue il... (2003, Gallimard)
- La Mort en dédicace (2001, Verdier)
- A louer sans commission (1991, Gallimard)
- La Repentie (1999, Verdier)
- Légende du rail, nouvelle parue dans Gens du rail (2010, Privat)
- Le Crime de Sainte-Adresse (2004, Terre de Brumes)
- Bagnoles, tires et caisses (2011, Jérôme Millon éditeur)
- L'Affranchie du périphérique (2009, Éditions de l'Atelier)
Comme toujours chez Didier Daeninckx, ses fictions sont nourries de toutes les réalités : les pires comme les plus belles. Chaque histoire est gonflée de rêves et de défaites. La colère côtoie l'utopie, l'individu se frotte au collectif, l'espoir croise le fer avec le désespoir. Humains blessés ou laissés-pour-compte, révoltes tous terrains, événements sortis des oubliettes, souvenirs retrouvés, libertés rétablies : seule l'écriture « au noir » fait jaillir la lumière !
On peut le dire autrement : dans chaque nouvelle de Daeninckx, ça fictionne, ça frictionne, ça fonctionne, ça frissonne. C'est « la vie qui va », ballottée par l'Histoire (avec un grand « H »). Et, quoi qu'il arrive, c'est l'humanité qui finit par l'emporter sur la barbarie.
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Soumis le 31/05/2015 par Nico