- Comment il s'appelle, ton âne ?
- Populo.
- Le peuple ? a-t-elle demandé en rigolant.
- Oui !
Le libeccio a redoublé de puissance. Nous sommes revenus sur le devant de la bergerie et le vent soulevait toujours plus de poussières et de cendres. Toutes les cendres. Celles du passé et celles du présent. Nous nous sommes enlacés, pour ne faire plus qu'un, avant de disparaître dans un tourbillon de chaleur blanche.
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Soumis le 20/05/2015 par El Marco