Comme de la peste

Et voilà le résultat : une bonne murge et le Panthéon sur la tête.
Hélas, pour oublier Réquichot, ce nain puant qui m'envoie tous les chiens écrasés de la terre, mes parents et leur turne minable à Saint-Trop', ou Elie, mon cousin, et sa vue imprenable sur la connerie, tout le porto de tante Vitamine n'y aurait pas suffi. Tante Vitamine, justement, qui embrasse le tapis de mon salon, l'oeil torve, un joli couteau bien planté dans son coeur.

Roman noir

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Soumis le 17/05/2015 par El Marco

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