En argot de courses, "un cheval mort", c'est celui qui ne peut pas gagner. Mais Johnny Clay avait, lui, misé sur le cheval mort, ou plutôt sur la mort du petit cheval. Du petit cheval qui va atteindre le poteau d'arrivée, qui va gagner la course, et qui tombe, abattu d'un coup de feu, à quelques foulées de la victoire. Un pistolet pour contraindre le sort... fallait y penser. Ça vaut toutes les martingales. Du coup, on a, comme disent les turfistes, "la course en main".
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Soumis le 16/05/2015 par El Marco